Il y a quatre-vingt ans cette année, c’était la fin de la guerre. Le monde venait de découvrir Auschwitz et les autres « camps d’extermination » organisés par le nazisme.Le monde se heurtait à l’impensable.
D. Trump a eu une bonne idée pour en finir avec le conflit de Gaza : il a annoncé mardi dernier, le 4 février, que les États-Unis voulaient prendre « le contrôle » de la bande de Gaza. Quant à B. Netanyahou, le premier ministre israélien, il estime que cela est de nature à « changer l’histoire ». Mais sans doute les choses ne sont-elles pas aussi simples.
Nous poursuivons aujourd’hui la réflexion engagée la semaine dernière sur la montée en puissance de l’extrême droite dans plusieurs pays d’Europe et aux États-Unis
L’élection de D. Trump aux États-Unis, l’accession au pouvoir de G. Meloni en Italie, la légitimation du R. N. en France ne sont qu’une série d’événements et de situations faisant apparaître un fait inquiétant : la montée de l’extrême droite. Comment comprendre cette évolution ?
Hier, mercredi 15 janvier, le Qatar et les États-Unis ont annoncé la conclusion d’un accord de cessez-le-feu entre le Hamas et Israël suspendant la guerre de Gaza. Que pouvons-nous en dire ?
C’était le 31 décembre. Comme tous les ans, le président se livrait au rituel des vœux présentés au pays. Relisons ces vœux avec un peu de recul. Ils semblent plus vides encore que les autres discours de notre monarque.
Rêvons un peu : c’est le rôle des vœux que nous nous présentons en ce début d’année, mais en les formulant, on peut se rendre compte que, partout dans le monde, les crises que nous connaissons signifient que nous nous trouvons sans protection face à des violences et qu’il devient urgent de nous libérer de cette contrainte.