Le collectif des enfants de tortionnaires argentins s’adresse au président de la République en posant des questions au sujet de l’ex policier Mario Sandoval qui vient d'être extradé vers l’Argentine
Le départ du président Mauricio Macri ce mardi 10 décembre, marque la fin du pire gouvernement démocratique de l'histoire moderne de l’Argentine. Il laisse un pays exsangue et endetté. Une nouvelle étape s’ouvre aujourd’hui, qui sera fêté par des millions d’argentins.
Le mardi 10 décembre Alberto Fernández sera investi au Congrès de la Nation. Il recevra une Argentine endettée, délabrée, affamée. Après quatre années de politiques néolibérales, le lourd héritage de Mauricio Macri sera difficile à surmonter. Tout dépendra du consensus autour des mesures fortes du nouveau gouvernement pour relancer l’économie.
Alors que la plupart des médias nient ou minimisent l’existence d’un coup d’État en Bolivie, le journaliste argentin Nicolás Lantos nous éclaire sur celui qui en a été le principal meneur, Luis Fernando Camacho, ancien dirigeant de "l'Union de la jeunesse de Santa Cruz", une organisation paramilitaire de l'oligarchie bolivienne.
A deux semaines du coup d’État du 10 novembre, des policiers et des militaires continuent à tuer des Boliviens pendant que des gouvernements et des médias parlent toujours de «fraude électorale» et justifient l'injustifiable. Le journaliste argentin Marco Teruggi nous propose une synthèse de la situation.
Evo Morales, le président qui ressemble à son peuple, autodidacte, et qui a amélioré tous les indicateurs de l’économie et mis en place politiques sociales et éducatives comme jamais dans l’histoire de la Bolivie s’est vu obligé de démissionner face à la pression de bandes fascistes appuyés par des policiers. Le silence de certains gouvernements est ahurissant.
Le 18 juillet 1994, une voiture piégée, bourrée d’explosifs, a détruit complètement le bâtiment de l’AMIA, (Association Mutuelle Israélite Argentine). Un attentat féroce qui a fait 85 morts et plus de 300 blessés. 25 ans plus tard, le travail du photographe argentin Julio Menajovsky sera exposé le 14 novembre prochain à la Galerie de l'ambassade argentine à Paris.
Le 18 juillet 1994, une voiture piégée, bourrée d’explosifs, a détruit complètement le bâtiment de l’AMIA, (Association Mutuelle Israélite Argentine). Un attentat féroce qui a fait 85 morts et plus de 300 blessés. 25 ans plus tard, le travail du photographe argentin Julio Menajovsky sera exposé le 14 novembre prochain à la Galerie de l'ambassade argentine à Paris.
Tous les indicateurs sont au rouge : le pays a été classé en « défaut sélectif » par trois organismes internationaux, l’inflation dérape, le peso dégringole et le gouvernement vient de décréter le contrôle de changes.