Une femme sur trois, dans le monde, sera victime de violences au cours de sa vie. Violences verbales, physiques, économiques, sexuelles, psychologiques... Si de nombreux mots peuvent préciser la nature des faits, aucun terme neutre général n’existe actuellement. Une association propose de remédier au problème avec le mot « gynophobie ».
"De nos jours, la maladie mentale fait encore peur. Elle est souvent associée, à tort, à une faiblesse, à une perte de contrôle. Cependant, pour une grande majorité de personnes, la maladie mentale est une souffrance soigneusement cachée. À cause de tous ces préjugés entourant la maladie mentale, seulement une personne atteinte sur trois consultera un professionnel de la santé."
[Canada/USA] La violence conjugale concerne 15 fois plus les femmes de "flics" que la population générale. Pour elles, partir est un défi car leurs conjoints ont les moyens de tout savoir. Pire : ces agresseurs ont beaucoup moins de risques que les autres d’être inquiétés. Alex Roslin, dans une enquête réalisée sur 12 ans outre-Atlantique, brise ce tabou édifiant des policiers intimes bourreaux.
Depuis environ un an, l’atelier Le Baobab de Christine Soler, à Pau (64), permet de se soigner différemment. En complément de thérapeutiques institutionnelles, l’art y est utilisé pour exprimer une parole qui ne parvient pas à sortir en mots.
Pour une femme sur dix en France, Impardonnable n’est pas une fiction. Mais ça dure plus longtemps. Ce très beau court-métrage de Nicolas Doretti aborde les violences conjugales sous leur aspect le plus courant et pourtant le moins médiatisé. Le réalisateur s’est saisi du sujet lorsqu’il a compris que la vision couramment répandue de ces couples violents était faussée.
Certaines s’appellent « les mutantes ». Ces femmes porteuses d’une mutation génétique sur BRCA1 ou BRCA2 (*) ne sont pas concernées par la campagne Octobre rose qui inonde les rues et les médias, mais par une douloureuse réalité : un risque accru de cancer, un choix à faire entre un suivi angoissant et une chirurgie pas toujours facile à vivre.