Le non-sens de la pression économique culmine pour l'agriculture, en exigeant d'elle une rentabilité qui détruit son propre « outil de production » !
L'apiculture et les abeilles sont des témoins de premier1…
ordre de la folie destructive de cette démarche aveugle.
Ce blog explique les mécanismes, les conséquences et présentes les issues possibles pour que chacun-e d'entre nous puisse y contribuer.
L’influence "civilisatrice" du capitalisme est en pleine contradiction avec la logique du vivant.
La main dans la main avec le patriarcat, mis en oeuvre par les institutions laïques et religieuses, le capitalisme rend des comptes plutôt « salés »
« On pourrait très bien structurer nos sociétés de sorte que l’on se sente plus en sécurité, mais il semble qu’on ait choisi de faire le contraire ».
Evidence que Bell Hooks trouve bon de rappeler dans le contexte actuel d’égarements collectifs délibérés.
Ce pesticide est dévastateur pour la biodiversité : il tue (presque) tout. Nous n’avons besoin du glyphosate ni pour avoir un bon rendement agricole ni pour empêcher la concurrence des herbes sauvages.
Il n’y a que les fous - ou les économistes - pour croire qu’une croissance infinie est encore possible dans un monde fini.
Cet article propose un état des lieux de la résistance systématique mise en face de l'ignominie du système économique dominant.
C’est l’histoire d’un mec qui tombe du haut d’un immeuble de 50 étages. Au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien… »
Mais, l’important n’est pas la chute mais l’atterrissage !
Le creusement des inégalités a la vertu d'augmenter jusqu'au paroxysme l'irresponsabilité des plus riches et le désintérêt des plus pauvres sur les questions brûlantes de l'écologie.
Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je suis écologue et auteur (https://www.culturenature71.com/publications)
J'ai acquis des dernières années la certitude - quasi scientifique - que les valeurs humaines vont radicalement changer en quelques années.
« L’intelligence a été évitée jusqu’alors et l’ignorance récompensée (…) Les gens sont déprimés et en colère. Donc tout le monde est médicamenté... »
Il y a, pourtant, toutes les raisons de ne plus nous résigner au désastre !
Parmi toutes les propositions alternatives qui sont faites, la fin du travail dans une perspective d'épanouissement humain et écologique reste une originalité.
Notre rapport aux autres et à l’existence est si systématiquement vicié par la pénurie et l'exploitation du travail, que la question vaut d'être mieux prise en considération.