Investie par Philippe Quesne et son Vivarium Studio, la Carrière de Boulbon, à quelques kilomètres d'Avignon, prête volontiers son cadre idyllique à un bestiaire humain ironique et poétique, inspiré par l'écologie, le western et l'histoire de l'Art. Et peut-être aussi par Platon, revisité par Jérôme Bosch ?
Il s'en serait certainement amusé: France Culture programme, de 00h à 07 00 du matin, dimanche 25 juin, une série d'anciennes émissions qui lui étaient consacrées sur les ondes d'une station autrefois moins mesquine car plus avisée...
Alors que ce petit cycle consacré à Jean-Louis MURAT était clos, nous avons reçu une autre contribution. Comme un Vent tardif. Ou comme des souvenirs qui se laissent désirer ? Idéale, surtout, pour illuminer nos mémoires...
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
Jean-Louis Murat ne se préoccupait pas d'unanimité. Trop particulier, trop imprévisible. Taillant à la serpe ou à la hache (selon admirateurs ou pourfendeurs) des poèmes musicaux jugés puissants ou évanescents, l'homme et l'artiste étaient d'accord pour préférer la nature aux impostures.
Suite aux décisions qui paraissent de plus en plus partisanes ou arbitraires dans le choix de l'actuel Président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes de tailler dans les subventions jusqu'ici accordées à certains lieux de création et diffusion culturels, il devient plus que nécessaire de tenter de lui faire entendre raison.