En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
En guise d’hommage, comme lorsqu’on s’attarde sur le pas d’une porte, au moment de quitter le logis d’un ami, quelques poèmes musicaux de MURAT pour mieux redire une ferveur -par lui longuement suscitée- et le présenter à ceux qui le méconnaissaient.
Jean-Louis Murat ne se préoccupait pas d'unanimité. Trop particulier, trop imprévisible. Taillant à la serpe ou à la hache (selon admirateurs ou pourfendeurs) des poèmes musicaux jugés puissants ou évanescents, l'homme et l'artiste étaient d'accord pour préférer la nature aux impostures.
Suite aux décisions qui paraissent de plus en plus partisanes ou arbitraires dans le choix de l'actuel Président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes de tailler dans les subventions jusqu'ici accordées à certains lieux de création et diffusion culturels, il devient plus que nécessaire de tenter de lui faire entendre raison.
Deux pièces parlées, chantées, dansées, imaginées et mises en scène par Emma Dante : deux fables libres d'une même source d’inspiration. Différentes l’une de l’autre: en apparence seulement. Mais, surtout, osons le mot, pour une fois : deux chefs d’œuvre…
Les « Buffles » de Pau Miró, mis en scène et marionnettes par Emilie Flacher prennent les peurs intimes et collectives par les cornes pour mieux dépecer clichés et préjugés. Et rendre à l’humanité son indispensable part d’ombre et de mystère.
Parti en discrétion comme c'était sa manière de vivre et de filmer, Michel Deville nous laisse orphelins d'un cinéma élégant, joueur et ô combien humoristique.