Redonnons au spectacle vivant sa part de rêve en même temps que son rôle politique et social ! Ouvrons-nous à la création et l'interdisciplinarité !
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fil de critiques, billets d'humeur, reportages et points de vue, le quotidien du spectacle vivant est passé au crible, pour tenter d'y démêler ses grandes lignes de tension, et la pertinence de chaque œuvre et de chaque spectacle dans notre monde artistique qui subit aujourd'hui des mutations diverses, aussi bien dans ses esthétiques que dans ses modes de production et ses politiques de financement.
C’est désormais une tradition : la saison lyrique de l’Opéra National du Rhin s’ouvre par une création dans le cadre de Musica, festival strasbourgeois conscaré à la musique contemporaine. Cette année, c'est Love and other Demons, dernier opéra d’après le roman éponyme de Gabriel Garcia Marquez du grand compositeur et chef d’orchestre hongrois Peter Eötvös, créé en 2008 au Festival de Glyndebourne (en co-production avec l'Opéra de Vilnius).
« Thank goodness for the Internet ! » C'est ce que s'écrit le violoniste canadien Corey Cerovsek en montrant les feuilles volantes, posées sur son pupitre, qui lui servent de partition. Sa présence n'était pas prévue en ce 11 septembre à Montreux, il remplace au pied levé la jeune violoniste qui devait se produire ce soir dans le cadre du partenariat du Septembre Musical avec la Verbier Festival Academy, mais qui, indisposée, nous a fait faux bond.