" Imaginez les contes de Grimm et ceux de Perrault revisités mais sous acide, avec des personnages gays à la libido disons très...active. Ajoutez dans une jatte plate et sans plus de discours une pincée de Game of Thrones avec des héros sans peau d'âne (mais avec d'autres similitudes tout de même) et vous obtiendrez ‘Le Roi Nu’"
"psychopathes déchus avides de pouvoir, du sang et des richesses de leur peuple. Peuple d'anonymes exsangues, abattus pour un sourire ou un regard dans la rue; zombifiés par la drogue et la faim, mutilés devant leur famille, torturés dans les geôles infâmes du régime, asservis dans l'indifférence coupable des grandes nations occidentales"
"c'étaient des convulsions baignées de larmes dans la frénésie de l'amour, de la musique faite de baisers et de délectables sanglots, la caresse d'une bête féroce, une caresse à faire souffrir, à faire éclater de jouissance"
"Moi d'abord ! Toujours ! Toi, tu regardes. Tu es ma petite vestale et moi ta déesse, ce sera ainsi même quand on m'aura collé un déambulateur entre les mains. Des coups de poignard dans l'âme à défaut de caresses."
« Dès potron-minet, la mousse remplace peu à peu le petit noir. À la maison, en couple, car sinon on n'aurait rien à se dire, on aime l'autre pour ses excès, ceux nés d'une consommation abusive. À la maison, de nouveau en couple, pour oublier l'ennui profond que fait naître en nous la Raisonnable, assise en face, les yeux compréhensifs (exaspérants ?) ».
"dans un pays où les veuves se précipitaient encore sur le bûcher de leurs défunts époux pour les accompagner jusque dans la mort, où des milliers de femmes pas assez dotées étaient brûlées vives dans les cuisines des faubourgs, comment cette jeune fille certes bien née est-elle parvenue au sommet, consolidant la démocratie indienne après l'indépendance ?"