Le blog de Frédéric PIC

J'aurais pu écrire « le double jeu », sauf qu'il ne s'agit pas d'un jeu, mais de la réalité d'un personnage inquiétant, davantage Mister HYDE que Dr JEKYLL, je parle du président, dont la responsabilité est écrasante dans la genèse de la crise de société protéiforme qui nous submerge aujourd'hui.

Je prends peut-être me désirs pour de réalités. Mais les événements de ces derniers jours - est-ce le retour du printemps ? - ont pour moi un parfum de revenez-y, un parfum de nouveau Mai 68 nécessaire et inéluctable. Pour nous débarrasser, au delà de MACRON qui n 'en est qu'un symptôme, d'un capitalisme mortifère qui met en danger jusqu'à la survie de l'humanité.

Le gouvernement et la macronie, bousculés lors du projet retraite, tentent de reprendre la main et viennent à ce titre de nous gratifier d'une série de déclarations gratinées : paroles d'experts qui nous interrogent sur leur personnalité.

j'ai interpellé ce 23. février sur Inter O.VERAN en lui demandant quand il allait réintégrer les soignants injustement suspendus. J'argumentais en citant un document de Santé Publique France du 11.08.2021 indiquant qu'il n'y avait pas de différence significative de contagiosité entre vaccinés et non vaccinés. O.VERAN a nié l'existence de ce document. Il a menti.

BORDEAUX. Lors d'un débat le 04/02 sur la transition environnementale et « qui devait la payer ? », Mme BENASSY-QUÉRÉ, chef économiste de la direction générale du Trésor, indiquait benoîtement que depuis 60 ans ce partage « était restée stable ». Le 06/02 sur Inter, B. LEMAIRE ressortait le même argument de langage visant à exonérer le capital de toute hégémonie. Qu'en est-il exactement ?

Derrière le refus de cet irrationnel projet de réforme des retraites se joue en fait le rejet d'un choix de civilisation : qui l'emportera – enjeu vital - de l'arrogant et capricieux jusqu'au boutisme présidentiel ou de l'émergence – enfin – de la volonté populaire d'un mieux vivre par un partage revisité du savoir, du pouvoir et des richesses crées

Il y a gifle et gifle. Il y a frappeur et frappeur. Il y a féministe et féministe. Il y a violence et violence. Les peines encourues varient suivant qui vous frappez. Gageons qu'entre les deux punitions citées dans le titre ci-dessus, A.QUATENNENS aurait accepté avec plaisir de se voir verser un seau d'eau sale sur la tête pour solde de tout compte...

Deux ou trois joueurs français sont fébriles et alités. Tous, joueurs, entraineurs, journalistes se sont congratulés. Le président Macron itou. Tous sont donc susceptible d'avoir été contaminés, on imagine la panique dans les vestiaires, la mobilisation du corps médical sur les dents. Contaminés oui, mais par quoi ? Virus, vous avez dit virus ?

les manifestations sportives ont été fortement perturbées durant la période COVID. En excluant d'une part les spectateurs. En contraignant aussi tous les compétiteurs, pourtant situés dans des tranches d'âge peu ou pas touchées par la maladie, à se vacciner. Mais des disparités curieuses apparaissent...

Personne ne nous fera croire que cette coupe du monde n'est pas essentiellement politique, et accessoirement sportive. Comme tous les quatre ans, un certain nombre de conflits se cristallisent autour de cette compétition. À ce titre, la victoire d'une équipe faisant sienne la promotion du drapeau palestinien rappelant le drame oublié que vit cette nation sans état me parait éminemment souhaitable.