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Le blog de Frédéric PIC

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Des devoirs et des droits
les devoirs précèderaient et l'emporteraient sur les droits. L'obéissance – aveugle de préférence – aux diktats d'un petit nombre voire d'un seul – serait donc le premier legs fait à chaque nouveau-né : bienvenue au royaume de la servitude volontaire ! Il faut gagner sa vie, gagner les élections, le match, les marchés. Parfait pour les gagnants. Mais que fait-on des perdants ? -
De notre tolérance - éminemment variable - à l'intolérable
Toute guerre comme le rappelait Prévert est une connerie, pour tous les désastres qu'elle cause auxquels on peut aujourd'hui rajouter, compte tenu de nos urgences, le désastre écologique. Il est donc licite de s'en indigner. Mais s'indigner parfois ne suffit pas : quand et pourquoi décide-t-on ici de combattre un incendie, et là de laisser le feu faire son œuvre ? -
d'un projet louable à un monstre orwellien
Au départ était la volonté – louable – de lutter contre les pandémies. Nécessitant une action à l'échelle mondiale, cette lutte exigeait coordination, réponses uniformisées, donc organisées. Donc contrôlées. Donc à terme, forcément contraignantes et opaques. Basée sur une vision étriquée de la santé, soumise à des intérêts financiers, cette idée accouche aujourd'hui d'un monstre orwellien. -
On ne rabiboche pas un couple qui s'effiloche
On peut comprendre que POUTINE veuille reprendre sous sa coupe celle qui flirta si longtemps avec sa Russie, l'Ukraine. Mais bon, il en va des peuples et des nations comme des couples, la rupture n'est pas rare. Sauf qu'ici, le partage des meubles émaillé de rancoeurs et d'acrimonie rejaillit sur la planète entière. Et il en est responsable. -
La piétaille et le Grand Homme
Se prétendant au-dessus de la mêlée prétendument sans intérêt de la campagne électorale comparativement aux affaires du monde dont il aurait la charge, le président MACRON a dit ne pouvoir s'y mêler tant que ces problèmes accaparaient son attention. Prenons-le au mot, d'autant que sa gestion de la crise ukrainienne, dans la lignée de son exercice personnel du pouvoir, n'est pas sans poser question -
VERAN-ZEMOUR versus CIZERON-PAPADAKIS
Étrange carambolage. Ici un atrabilaire vomissant sa peur et sa haine de l'autre. Là un médecin perdu s'enlisant dans une gestion kafkaïenne de la crise sanitaire. Et sur une autre planète un jeune couple dansant un hymne élégiaque à la vie et au beau. Y'a pas photo. -
Cinq ans de plus ? Non merci, sans façons !
le peuple s'ébroue en convoi, comme s'extirpant d'un mauvais rêve, et c'est tant mieux. Le tyranneau de son côté, subodorant que son petit monde jusque là très obéissant ne supportait plus ni ne comprenait ses capricieuses avanies a déclaré qu'il libèrerait sous peu ceux qu'il avait incarcéré sans raison, au seul prétexte de son bon vouloir. Trop facile. -
Contre la désastreuse gestion covid, à quand la révolte ?
Une peur quasi millénariste, l'influence inquiétante des puissances d'argent, des médias tolérant d'être muselés, des sachants oubliant leurs savoir, des médecins acceptant de renoncer à soigner, des politiques empêtrés dans leurs choix kafkaïens jusqu'auboutistes, des citoyens désorientés. Il y aura des comptes à rendre. -
TAUBIRA, pourquoi pas ? mais surtout pas comme l'on croit !
Femme, noire, d'outre-mer, intellectuelle, quel flamboyant symbole pour la République et pour sa présidence ! Sauf qu'il est trop tard. Elle peut toutefois réussir cet enthousiasmant défi de l'union, à condition de ne pas s'acharner à ce qu'elle se réalise derrière elle. Mais qu'elle s'efface pour l'organiser autour d'elle.