Dans cet article, traduit de l'américain, l'auteur, palestino-américain, discute la récente reconnaissance du génocide par le sénateur US B. Sanders ; mais surtout la concession qui l’accompagne, savoir que c’est « le Hamas qui a commencé ». Il en explore les omissions et, plus encore la portée. Son propos évoquera irrésistiblement la polémique suscitée par le propos, assez proche, de J.P. Filliu.
Olivier Lek Lafferrière, membre d’UjFP-Tsedek, poste un billet sur Mediapart pointant le rôle du sionisme dans les événements en cours ; quelques jours plus tard, Clément Homs, sur Palim Psao, site de l’association Crise&Critique, poste un billet incendiaire contre le premier. La virulence et la méchanceté du second m’ont interloqué et effrayé. Ce texte tente d’éclairer cet « événement ».
Le journaliste Abubaker Abed n'a jamais voulu quitter sa terre natale. Il décrit les décisions déchirantes qu'il a été contraint de prendre.
Je, hp, traduis, publie et édite ce texte, beau témoignage d'un jeune Palestinien de Gaza forcé à l’exil en raison du risque que son métier, journaliste, lui fait courir.
Israël a entamé la dernière phase de son génocide. Les Palestiniens sont contraints de choisir entre la mort ou la déportation. Ce à quoi nous assistons éclipse toutes les agressions historiques contre les Palestiniens.
Sans les subventions militaires massives et inconditionnelles des États-Unis, Israël aurait dû pratiquer la diplomatie avec ses voisins depuis des années
Ci-dessous, un article de The Intercept du 10 octobre 24. Bien qu'"ancien", j'en donne une traduction aujourd'hui 18.12, parce qu'il demeure pertinent. J'ai maintenu la plupart des liens auxquels l'A renvoie, non traduits eux.
Edito de A. Mitrovica du 7 avril (Al Jazeera) sur la liquidation par Israël de personnel du WCK en début de semaine dernière et sur les réactions d'indignation des leaders occidentaux à l'annonce de la mort de leurs ressortissants. Ma traduction
Je poste ci-dessous un article d’un palestinien-états-unien qui me paraît mériter la lecture par le développement qu’il offre contre un discours fréquent voyant en la guerre présente à Gaza « la guerre de Netanyahou », vision imputant à un homme seul la responsabilité de ce qui se déroule. L’auteur démonte cette vue dépolitisante.
L’autrice y explique les circonstances qui l’ont contrainte à abandonner la perspective de travailler comme journaliste dans la presse US. Les travers décrits étant largement partagés dans nos contrées, il m’a semblé utile de proposer ce témoignage, dans ma traduction (accélérée par DeepL)