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Pourquoi publier l’image de soi ? Pourquoi chercher à devenir visible ? Et surtout : à quel prix ? Qu’est-ce qui se cache sous le « visible à tout prix » ? Dernier volet de la publication d’un ensemble refusé, avant de revenir bientôt à la question de la liberté critique, et de sa mise en péril.
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Cet article à bâtons rompus se retourne librement vers quelques films de 2020. Son fil rouge : deux questions intimement liées au cinéma. Le présent. La croyance. Dans l’ordre : LA FEMME QUI S’EST ENFUIE ; LES CHOSES QU’ON DIT, LES CHOSES QU’ON FAIT ; DAYS – volet 5 de la publication d’un ensemble refusé.
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Suite de la publication fractionnée d’un ensemble refusé par la dernière revue de cinéma susceptible de l'imprimer. Volet 4 : Josh et Bennie Safdie, maîtres de la mise en monde-scène, semblent bien réconcilier le cinéma moderne avec celui de Vincente Minnelli. Pourtant UNCUT GEMS, ce film modeste et génial, n’a pas obtenu le « Droit de Cité » en 2020. Et c’est un bien mauvais augure.
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Suite de nos deux premiers articles consacrés aux « images arrachées » (série « Image et vérité » - volets 5 et 6) : images anarchiques, images de surveillance, dénonciatrices, délatrices, partielles, partiales… Si la « preuve par l’image » est un fantasme, celui-ci révèle pourtant une vérité : une vérité idéologique. On pose ici des questions. On n’a pas forcément les réponses.
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On entame ici la publication fractionnée d’un ensemble refusé par la dernière revue de cinéma susceptible de l'imprimer. Occasion de poser la question de la liberté de la parole critique en France aujourd’hui, avant d’y revenir bientôt plus frontalement. Volet 2 : suite d’une réflexion au long-cours à propos d’images d’une nature nouvelle, hybride et indéterminée.
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On entame ici la publication fractionnée d’un ensemble refusé par la dernière revue de cinéma susceptible de l'imprimer. Occasion de poser la question de la liberté de la parole critique en France aujourd’hui, avant d’y revenir bientôt plus frontalement. Volet 1 : retour à un aspect important du cinéma contemporain, par lequel deux régimes d’images radicalement opposés se retrouvent en présence.
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CITY HALL : grand film dont l’ambition première serait de donner la preuve que la parole peut être puissante, que la parole humaine possède un pouvoir intrinsèque. Puissance de la parole, performative et démocratique… parole multiple et surtout : vivante ! Un baume pour le cœur : Wiseman et les bostoniens montrent la voie démocratique. Awesome !
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KAJILLIONAIRE, Miranda July, 2020 ; UNDINE, Christian Petzold, 2020. Depuis que les images sont passées à l’ère numérique, il y a désormais deux catégories de films : ceux qui font une place au regard, et ceux qui lui posent des œillères ; ceux qui accueillent le hasard, et ceux qui l’arraisonnent ; ceux qui prennent le temps de douter, et ceux qui ont tout programmé.
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Comme d’habitude les États-Unis nous servent d’éclaireur en matière de démocratie : ce coup-ci ça va vraiment mal. Le suffrage universel, qu’il soit direct ou indirect, a chopé lui aussi un virus, pas forcément moins grave que l’autre. C'est un virus informatique.
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Vieux texte (2011) malheureusement toujours, et plus que jamais, d'actualité : pour servir de prolégomène au texte suivant, « Image de soi et conformation de l’individu 3 - la menace Trump ». Le texte intermédiaire (n°2), concernant plus frontalement le cinéma (« Cinéma filmé : le chantage à l'affect ») devrait suivre dans la revue TRAFIC aux éditions POL.