La vérité est parfois russe, parfois française, anglaise, etc. Mais elle est toujours fragile. C'est un petit torero avec une petite cape rouge face à la bêtise au front patibulaire de taureau.
Les bondieuseries sont de saison. Je vais donc utiliser de nouveau cette métaphore : je prie. Je prie pour que le « suicidez-vous » lancé par une bande de cons ait l’effet inverse de celui recherché. Poétique de l'impératif.
Eh oui ! C’est peut-être aussi votre cas ? Alors, lisez-le vite. Parce que c’est fort, étrange, et beau. Et subversif, aussi, ce qui explique sans doute la critique "erronée" des plumitifs de tous poils, qui ont réduit l'œuvre à un roman sur l'adolescence. Alors que c'est une peinture au vitriol de l'american way of life.
Larmes ! pleurs ! S’il n’y avait que deux mots lyriques, ce serait eux. Riment avec arme, douleur, alarme, bon et mal heur, charme, meurt et meurent, etc. Se faufilent dans des tas d’expressions et de dénominations : « pleurer sa peine » ; « larmes de crocodiles » ; « pleure-pain » ; « lacryma Christi » ; lacrymogène ; les « larmes de sang » ; et surtout : « pleurer les fesses ».
Étincelles de Compostelle. Rêver, calculer, dessiner et construire. Pour Dieu ou non. Accueillir la lumière. Conquérir la hauteur. Aux pieds des monuments, les humains.