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Un truc qui m’a toujours fait pleurer les fesses, c’est la notion de raison d’état. Avec son corollaire, la naïveté, l’imbécilité, dans lesquelles l’opinion doit être maintenue.
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L’Hôpital et la Charité ! Le paltoquet pyromane Macron, apprenti sorcier tendance Voldemort, jeteur de phrases-tisons, se permet de donner des leçons de sagesse à une militante pour la paix septuagénaire. Eh ben grâce à lui, j’ai corrigé une erreur que je commettais depuis toujours !
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"Cute", c’est mignon.ne. En américain, c’est aussi "futé", "désagréablement pertinent". En fait, la plus "cute" de toutes ces filles ne fait pas partie du réseau, tout en ayant affaire à lui.
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Dans une église ou une mosquée, des gens se réunissent et prient. J'ai d'abord eu l'idée de mettre dans ce billet deux photos, une église du Christ, une mosquée. Entre Osny et Conflans, tous les jours, je traverse en vélo un bois de chênes qui abrite la mosquée d'Éragny sur Oise. J'en ai trouvé une photo avec des vitraux, comme dans mes églises. Y aura donc qu'une photo !
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Voile : encore un mot dévoyé. Les cons totalitaires pédalent encore dans la semoule avec l’amalgame foulard - voile.
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Magnifique, poétique, politique oxymore. Les partis radicaux ont été des impostures, comme les autres. Voici venir le temps des désirs radicaux.
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Les « cliniques juridiques » sont des associations d’étudiants en droit, qui proposent leurs services gratuitement à quiconque en fait la demande. L’intérêt est pédagogique : c’est l’occasion de vrais travaux pratiques.
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LANCÊTRE est un faux vieux !
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Dans L’ombre de Gray Mountain, John Grisham réexplore, après L’avocat des rues, un thème qui m’est assez cher : l’avocat « social ». Autre motivation à partager ce texte : la métaphore du rasage de l’Arche de Paul Brard. Et la difficulté à s’opposer à la destruction aveugle et au mépris des gens dont sont coupables les intérêts financiers.
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Envie de poéter un petit coup. L’existence, ça perturbe. Déjà, la nôtre. Ensuite, les leurs. Enfin, celle de tout, on devrait même dire celles de tout. Tout existe ! C’est une tautologie : tout, ça signifie tout ce qui existe, donc forcément tout existe. Le dicton, en fait, essaye de dire que la réalité est méga-complexe, magique, fascinante, absurde…