À Cuba, dont certains faisaient encore il y a peu un modèle à suivre en matière d’agriculture biologique, le gouvernement prône officiellement le développement d’une agriculture intensive à base de semences génétiquement modifiées.
De l’enfant, né des ébats du président avec la jeune Gabriela Zapata, on ne sait toujours rien. Selon la thèse officielle, il n’aurait jamais vu le jour. Du trafic d’influence qui aurait succédé à cette union, on ne sait rien non plus.
« Le peuple bolivien a gagné la confiance d’Amaury Sport Organisation (ASO) par son affection. J’en suis très heureux. Je peux dire maintenant que le Dakar appartient au patrimoine de l’humanité ; c’est un sport d’intégration des peuples du monde », dixit Evo Morales
Quand Evo Morales, pourfendeur du capitalisme et de l’impérialisme, utilise l’argent public bolivien pour accueillir et promouvoir une des manifestations les plus voyantes des capitalistes qui vandalisent la nature. Le coup de gueule de Pablo Solón.
Accusés par le gouvernement de Bolivie de faire partie d’un soi-disant « cartel du mensonge », les journalistes visés contre attaquent. Voici les réactions de deux d’entre eux.
Le 28 novembre 2016, un avion de l’entreprise bolivienne LaMia s’est écrasé en Colombie avec, à son bord, les membres de l’équipe de football brésilienne Chapecoense qui se rendait à Medellin pour y disputer la finale de la Copa Sudamericana. Bilan soixante-et-onze morts et six rescapés.
L’option radicale vers laquelle s’est orienté Fidel Castro après la prise du pouvoir, notamment l’instauration de la peine de mort, faisait partie de sa démarche pour réaliser un bouleversement profond de la société et de l’État. L’opposition entre anti-communistes et pro-communistes se fait jour au sein des révolutionnaires, dès le début de l’année 1959, comme un obstacle insurmontable.
La réaction de la journaliste Lupe Cajías face à l’incurie du gouvernement d’Evo Morales qui n’a pas anticipé une pénurie d’eau prévisible et annoncée. Chronique parue le 26 novembre 2016 dans le quotidien Los Tiempos sous le titre : « Venezuela is coming ».