Le blog de Jean-Pierre Lavaud

Le thème de l'eau qui est si étroitement lié à l’accession au pouvoir du gouvernement d'Evo Morales pourrait bien être à l’origine de sa débâcle

Au moment où certains pleurent la mort de Fidel Castro, il est utile, voire indispensable de se rappeler de ceux – nombreux – qu’il a torturé et fait mourir. Beaucoup, parmi eux, bien loin d’être des suppôts du capitalisme ou de l’impérialisme des États-Unis, furent ses frères de combat.

Tous les pays du bassin amazonien sont saccagés, pillés, et souillés. Sans exception aucune. Alors, qu’est-ce qui différencie les pays du socialisme du XXIe siècle de tous les autres ?

N’ayant pas digéré son échec au referendum qui devait lui permettre d’être à nouveau candidat à la présidence, Evo Morales élimine un à un ses concurrents par la voie judiciaire.

La tolérance du gouvernement bolivien à l’égard des conceptions qui différent des siennes ne cesse de diminuer. Il s’applique à discréditer, corrompre, punir, écarter, tous ceux qui éclairent ses manipulations, ses insuffisances et ses injustices. Notamment les ONG.

Comment Evo Morales refait l’histoire pour figurer au Panthéon de la révolution

Gary Prado Salmón, l’officier bolivien qui a capturé Ernesto « Che » Guevara, est inculpé de « terrorisme et de soulèvement armé ». Il est placé en résidence surveillée, et son procès a commencé il y a six ans

Gary Prado Salmón, l’officier bolivien qui a capturé Ernesto « Che » Guevara, est inculpé de « terrorisme et de soulèvement armé ». Il est placé en résidence surveillée, et son procès a commencé il y a six ans.

Gary Prado Salmón, l’officier bolivien qui a capturé Ernesto « Che » Guevara, est inculpé de « terrorisme et de soulèvement armé ». Il est placé en résidence surveillée, et son procès a commencé il y a six ans. Les trois billets qui suivent rendent compte de cet harcèlement judiciaire : deux sont signés Jean-Pierre Lavaud, et le troisième Elisabeth Burgos.

Il est de notoriété publique que divers régimes politiques d’Amérique latine sont directement impliqués dans le trafic de cocaïne. Voici quelques données qui montrent la pénétration des réseaux mafieux au sein du personnel politique et de la haute administration du Venezuela et de la Bolivie.