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Dans le prolongement de l’effervescence des Marches des Fiertés, le festival Paris l’été accueille du 23 au 27 juillet le collectif Jeanine Machine qui mène sa troisième année de tournée avec : "Le Pédé". Un spectacle de rue en déambulation (2h15), attachant et réjouissant par sa forme, mais aussi instructif et engagé par son sujet : l’histoire des luttes homosexuelles depuis 1969.
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Manuel Ramos González (1899-1971) es un escultor español originario de las islas Canarias. Entre 1927 y 1932 vivió en París, en el barrio de Montparnasse. La «Mendiga Canaria», tallada en 1933, es una obra insólita e inquietante, expuesta por vez primera en 1943, en Las Palmas de Gran Canaria. Más tarde se exhibió en Madrid, Málaga y Sevilla. Desde 2016 se expone en el Museo de Málaga.
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Manuel Ramos González (1899-1971) est un sculpteur espagnol des îles Canaries. De 1927 à 1932 il vit à Paris Montparnasse. Il sculpte la "Mendiga Canaria" ("Mendiante Canarienne") en 1933, une œuvre insolite et troublante, exposée pour la première fois en 1943 à Las Palmas de Gran Canaria. On la retrouve ensuite à Madrid, à Malaga, à Séville. Depuis 2016 elle est exposée au Musée de Malaga.
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La commission d’enquête relative aux violences commises dans différents secteurs du spectacle vient de rendre public le tome I de son rapport. Les faits relatés sont révoltants, indignes, inhumains, inacceptables, illégaux. Après tant de révélations scandaleuses, comment vais-je réussir à retourner au théâtre ou au cinéma ?
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A Paris 17e, non loin du square des Batignolles, le collectif Les Affinités Électives rend hommage à la célèbre chanteuse native de ce quartier : Barbara. La pièce « Barbara, mémoires interrompus » se joue depuis aujourd'hui au Studio Hébertot et jusqu'au 20 janvier. Un spectacle d'une forme gracieuse, légère et délicieuse. Du théâtre poétique et chaleureux. Une plongée dans la beauté.
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A l’heure où la France est habitée par des ambitions politiques contraires, dont les démonstrations sont de plus en plus radicales et violentes, il est évident que le théâtre va être fortement secoué. Il n’est donc pas vain de débattre au sujet du théâtre populaire. Puisse-t-on seulement le faire avec les bonnes références, que ce soit pour les lustrer ou pour les piétiner.
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Installé aux Pays de la Loire, le Nouveau Théâtre Populaire fait du théâtre de tréteaux à la campagne et crée ses spectacles en plein air lors de son festival annuel. Le voici au Théâtre de la Tempête (Cartoucherie, Paris 12e) avec « Notre Comédie humaine » d’après Balzac. Une trilogie formidable, comique, caustique, où s’enchaînent et se fracassent les rêves de Lucien Chardon, dit de Rubempré.
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Telle une bourrasque d’automne incitant à relever la tête, le cinéma et le théâtre rendent chacun un vibrant hommage à la chanson. Le film « Monsieur Aznavour » de Mehdi Idir et Grand Corps Malade est en salle depuis quatre jours, tandis que la pièce de théâtre « Barbara mémoires interrompues » de Catherine Pietri et Frédéric Constant est programmée au Studio Hébertot à partir du 9 novembre.
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« Le Cadavre encerclé » de Kateb Yacine est une pièce très rarement mise en scène en France, où elle fut d’abord interdite de représentation durant huit ans, car son année de publication coïncide avec le début de la guerre d’Algérie. La mise en scène d’Arnaud Churin (Cie La Sirène tubiste) est donc une occasion rare, elle donne corps à la poétique théâtrale si singulière de cet auteur.
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Depuis dix jours les fascistes et les obscurantistes assiègent la cérémonie d’ouverture de Paris 2024. Semant la division, ils s’en prennent aux artistes et sanctionnent également la liberté d’expression du public. Paris 2024 a sous-estimé l’ampleur de cet incendie qu’il fallait absolument éteindre dès le lendemain. L’État français a mis une semaine à réagir publiquement.