Président du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P) http://www.cl2p.org, et de l'Association Nous Pas Bouger http://www.nouspasbouger.org
Paris - France
Logo du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P), ONG située dans le onzième arrondissement de Paris
Site internet: http://www.cl2p.org
E-mail: camliberationpolitique@yahoo.com
Montesquieu1…
disait donc dans son ouvrage intitulé Considérations sur les causes de la grandeur des Romains qu’«il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice.»
C’est une constance, un des traits caractéristiques des dictatures, c’est l’usage de l’appareil judiciaire comme le bras armé d’une politique répressive.
Là où la corruption et la brutalité des forces de sécurité échouent à étouffer les voix dissonantes, les juges aux ordres des tyrans sont toujours là pour embastiller sans état d’âme ceux que ceux-ci considèrent comme ses adversaires réels ou supposés et de redoutables concurrents politiques.
Ce fut la raison première de la création de notre organisation dès mai 2014, parallèlement à la lutte que nus menons contre les détentions arbitraires et les disparitions forcés en Afrique puis d'autres régions de la planète.
Joël Didier Engo, Président du Comité de Libération des Prisonniers Politiques - CL2P
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Au Cameroun, les évêques ont publié une déclaration pour dénoncer «l'assassinat brutal» de Monseigneur Jean-Marie Benoît Bala. Le corps du religieux a été repêché au début du mois, le 2 juin, dans un fleuve du centre du pays, 48 heures après sa disparition. Les prélats camerounais parlent aujourd'hui d'un crime «odieux et insupportable».Nous voulons que la lumière soit faite sur ces assassinats.
Solidarité avec la résistance gabonaise à la dictature d'Ali Bongo au Gabon. Je reproduis ici la lettre ouverte au Président élu Jean PING, écrite par M. Yannick Bastaine Moubamba,Écrivain,Doctorant, et surtout Secrétaire du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P);notre organisation qui accompagne ce mouvement depuis le coup d'État électoral perpétré au Gabon par le tyran Ali Bongo.
La posture égalitaire et non-discrimanante de la vieille oligarchie de gauche française...À croire que certain-e-s n'ont encore que cela à brandir aux minorités visibles, afin notamment de se donner le bon rôle et laisser l'impression qu'ils ou elles combattent le retranchement communautaire, racialisé, voire raciste dans lequel ils et elles les ont précisément acculées et parfois enfermées.
Devant l'échec retentissant du Tribunal Criminel Spécial (TCS) institué par le dictateur Paul Biya au Cameroun, à endiguer la corruption endémique dans ce pays, peut-être faudrait-il recourir à d'autres formes ou modes de juridictions en puisant notamment dans les rites et traditions africaines, dont celles de l'Arbre à palabre et des jurys citoyens avec une vocation essentiellement réparatrice.
Cameroun–Affaire Ahmed Abba–Issa Tchiroma répond à RFI: «Ce pseudo-journaliste est une excroissance de Boko Haram»? Toute l’arrogance du griot du dictateur qui excelle dans déformation des faits.Viendra évidemment le jour où il jurera qu’il était tenu de jouer ce rôle ingrat pendant le règne de Paul Biya,s’étant exposé comme nul autre sur ces graves atteintes aux libertés,dont celle de la presse.
Au Cameroun, la culture du mensonge institutionnalisé installée par la dictature trentenaire de Paul Biya est en train de se retourner contre elle. «L’affaire Antoine Félix Samba» ne révèle pas seulement la frénésie avec laquelle certains fonctionnaires camerounais s’enrichissent. Elle a surtout le don de venir confirmer la prise en otage du pays par la famille présidentielle et ses démembrements.
MESDAMES, MESSIEURS,
Nous vous invitons à toujours mettre des noms et des visages derrières la propagande politique parfaitement huilée des dictatures en Afrique centrale, notamment lorsqu'elles prétendent mener une lutte sans merci contre la corruption hélas souvent à tête chercheuse, faite d’accusations cousues de toutes pièces, de procès kafkaïens, et de condamnations arbitraires en cascade.
Ce dimanche 16 avril 2017 M. Marafa Hamidou Yaya aura passé cinq (05) années de détention arbitraire dans sa cellule du Secrétariat d’État à la Défense de Yaoundé, pour une complicité dite intellectuelle de détournement de deniers publics. Il n’y a plus ou pas l’ombre d’un doute que ce sont ses ambitions présidentielles qui lui valent cet embastillement sauvage et inhumain. QU'IL SOIT LIBÉRÉ!!!
À la suite de la condamnation inique (une de plus) de l'ancien ministre de la santé du Cameroun, Dr. Urbain Olanguena Awono,quelle est réellement la mission poursuivie par l'institution judiciaire de ce pays? Une justice punitive ou une justice réparatrice?À l'évidence c'est la première qui s'impose au regard de l’assujettissement de toute l'institution judiciaire au seul bon vouloir du dictateur.
À la suite de la catastrophe ferroviaire qui a eu lieu à Éséka au Cameroun le 21 octobre 2016, causant la mort de plus de 79 personnes et d'au moins 550 blessés,le Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P) et le Syndicat National des Conducteurs de Train du Cameroun (SPTC) ont porté plainte contre X à Paris.Le train appartenait à la Camrail, une filiale camerounaise du groupe Bolloré.