Président du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P) http://www.cl2p.org, et de l'Association Nous Pas Bouger http://www.nouspasbouger.org
Paris - France
Logo du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P), ONG située dans le onzième arrondissement de Paris
Site internet: http://www.cl2p.org
E-mail: camliberationpolitique@yahoo.com
Montesquieu1…
disait donc dans son ouvrage intitulé Considérations sur les causes de la grandeur des Romains qu’«il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice.»
C’est une constance, un des traits caractéristiques des dictatures, c’est l’usage de l’appareil judiciaire comme le bras armé d’une politique répressive.
Là où la corruption et la brutalité des forces de sécurité échouent à étouffer les voix dissonantes, les juges aux ordres des tyrans sont toujours là pour embastiller sans état d’âme ceux que ceux-ci considèrent comme ses adversaires réels ou supposés et de redoutables concurrents politiques.
Ce fut la raison première de la création de notre organisation dès mai 2014, parallèlement à la lutte que nus menons contre les détentions arbitraires et les disparitions forcés en Afrique puis d'autres régions de la planète.
Joël Didier Engo, Président du Comité de Libération des Prisonniers Politiques - CL2P
http://www.cl2p.org
Encore plus petit... pour comprendre et répondre à l'indignation provoquée par son lapsus raciste. Et dire qu'il fut Président de la France...
Les Noirs ou Nègres, voire Singes (à votre convenance) "vous emmerdent" Monsieur!
Le droit à la manifestation pacifique est l'une des libertés fondamentales au Cameroun, mais appliqué de manière sélective, selon que les initiateurs se réclament du pouvoir dictatorial en place depuis 38 ans (ou émanent de ses partis satellites dits de l'opposition), où qu'ils s'inscrivent clairement dans une logique d'alternance démocratique et pacifique.
Le droit de résistance à l’oppression est reconnu en droit international et divers peuples d’Europe en font encore usage aujourd’hui avec le soutien de la communauté internationale. Nous voulons et souhaitons qu’il en soit de même pour les peuples d’Afrique noire francophone.
N’oublions jamais que le silence est la pire des sentences pour un prisonnier politique. Non seulement il participe à la normalisation de sa détention arbitraire, mais concourt largement à la banalisation d’une culture du crime politique dans le pays, ici au Congo Brazzaville.
Combattre l’injustice, qui est en fait lutter contre la mort sociale, n’est pas seulement la responsabilité de ceux qui en subissent les conséquences ou de ceux qui commettent le tort; mais celle de tous. La réalité est que l'oppression et les inégalités font du tort à tout le monde, aux auteurs, aux spectateurs et aux victimes.
Appel à la manifestation samedi 11 juillet 2020 à partir de 14h00 Place Bastille contre la Loi Sécurité imposée par la Chine à Hongkong. Venez dire STOP à la tyrannie sans frontières de la Chine Samedi 11 juillet 2020 à Paris, de la place Bastille à la place de la République à partir de 14h00.
https://www.ahkf.org/
En octobre 2019 à Lyon sur le territoire français, devant des forces de l'ordre de la république française, des tontons macoutes du tyran Paul Biya l'ont sauvagement agressée au point de fracturer sa jambe ... Au motif qu'elle y manifestait pacifiquement contre le séjour officiel sur invitation du Président Macron d'un despote sanguinaire soutenu à bout de bras par la France.
Mercredi 17 juin 2020, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a exhorté les pays à affronter l'héritage de l'esclavage et du colonialisme et à réparer les "siècles de violence et de discrimination" par le biais de réparations.
Dans un monde encore comateux suite au covid-19, la mort tragique de George Floyd semble agir comme un amplificateur et un accélérateur du dé-confinement civique à travers la mobilisation politique et militante au service de la lutte contre le racisme et d’autres discriminations connexes.
Comment ne pas enfin poser cette question devant l'empressement de certaines grandes figures de la gauche politique française et parisienne à récupérer à nouveau l'indignation collective suscitée par le meurtre raciste de George FLOYD par un policier blanc raciste, parallèlement à la colère latente de l'affaire ADAMA TRAORÉ?