L'humanité n'avait pas encore commencé, nous pataugions entre des massacres perpétuels. Je suis entré dans le « reality -show » au milieu du XXe siècle dans la ville de Buenos Aires, avec le sentiment1…
qu'une vague d'ancêtres transhumants m'a jeté au seuil du troisième millénaire pour dire quelque chose, laisser des témoignages, ouvrir des fenêtres, invoquer la poésie, essayer d'autres vents pour conjurer la chute. C'est pourquoi ces chroniques, bouteilles au temps dirigées vers les habitants du futur.
Un poema sobre el racismo en homenaje a George Floyd por Tali Cohen Shabtai, joven poeta israelí, que expresa el dolor frente a este otro virus que azota la humanidad desde tiempos antiguos. “Absorbí antisemitismo racismo / Y forzada numerosas veces
A abrazar un nombre falso / Patria”. La palabra poética se vuelve necesaria para expresar el dolor que transmite este mundo en busca de humanidad.
Têtes broyées contre le sol / poumons pourrissant dans la mer / humanité asthmatique interrogeant / Comment ? Par où s’échapper? « I can’t breathe », ont été les derniers mots prononcés par Georges Floyd, afro-américain, 46 ans, père de famille, le 25 de mai 2020 à Minneapolis, Minnesota, USA, tandis qu’un policier blanc pressait sa tête contre le sol avec son genou.
Pandémie COVID-19. Les certitudes en béton se sont effondrées comme un château de cartes. L’heure des questions est arrivée ! Que les grandes interrogations s’ouvrent ! Bien sûr l’échafaudage théorique « néolibéral» s’effondre. L’état et les services publics affichent leur importance capitale, mais les « maîtres de la bourse » ne se résigneront pas facilement à perdre leurs privilèges.
Nous voilà en confinement ! Corona virus révélatueur, la petite particule fait tomber les masques du « modèle destructeur » (dit « néolibérale »). Tout d’un coup ils découvrent le dénuement des services hospitaliers, tout d’un coup ils retrouvent l’intérêt d’un état protecteur, tout d’un coup… La vie était ailleurs. Il faudra retrouver son sens, caché par des discours et des langages formatés.
L’Argentine revient sur le devant de la scène, elle devient l’arène où s’affrontent les pouvoirs financiers internationaux et un pays qui sort exsangue de quatre années de gouvernement Macri, élève bien aimé du modèle néolibérale. En 2001, au moment de la grande crise financière, j’ai écrit un texte qui nous concerne tous. Toujours d'actualité, je le diffuse aujourd’hui en français. .
«Âge d’équilibre » Chaque mot avec ses sonorités, ses sens, porteurs de significations et de valeurs symboliques, participe à la construction des représentations du monde. Chaque mot devient un champ de bataille entre diverses conceptions du monde, bataille moins visible que d’autres, mais décisive quant à la société dans laquelle nous souhaitons vivre.
Le 27 octobre 2019 se tiendra le premier tour des élections présidentielles en Argentine. Ce qui se joue dans ces élections est bien plus que le destin des Argentins. Le modèle politico-économique dominant, dit « néolibéral » produit des catastrophes tant en Argentine qu’en Grèce, en France qu’au Brésil Certes, à l’origine, une même idéologie, une même idée sur le fonctionnement de la société.
Certainly, the faster the Brazilian people get rid of Bolsonaro the better, but let us be clear: there is the basis of the production and consumption model of financial capitalism, its voracity, which is challenged by the flames of the Amazon. We must build together another way for living in society, other relationships between men and with nature.
Certes Bolsonaro aggrave l’écocide de l’Amazonie, arbres en flammes, oiseaux en cendres, populations à genoux. Mais ne nous trompons pas, il aggrave un phénomène commencé depuis bien longtemps . J’ai étais en Amazonie, j’y vécu, j’ai vu. Face à l’impuissance que nous ressentions en tant que chercheurs, je n’ai pu que pousser un cri, un cri que j’ai essayé de retenir dans un poème.
Does anyone have any doubt about what the intention with Venezuela is not the culture or his people and its sweetness. It’s about oil, and natural resources?