Il y a des questions comme ça, qu’on se pose du bout des lèvres. Parce que l’on a mieux à faire, comme sortie la poubelle ou commander une pizza. Humeur.
Qui suis - je ? Où vais - je ? L’IA nous promet de répondre aux deux plus vieilles questions existentielles. On n’est pas loin du point G métaphysique.
On ne parle que de l’IA, mais je considère que le drone est quand même l’invention du siècle. Surveillance, guerre, livraisons… Je pense même que le meilleur est à venir. Le drone à merde
J’ai appris par hasard qu’une COP venait de clôturer ce week end au Brésil, la 30ème je crois bien. Si on en parle si peu, c’est que les choses doivent aller beaucoup mieux, certainement.
Il fut un temps où seul l’artiste pouvait vivre de l’inutile. Tous les autres étaient condamnés à produire de l’utile. L’arrivée de l’IA répare cette injustice. Désormais, l’inutile n’est plus un privilège pour certains, c’est un devoir pour tous.
L’investisseur sent bien que quelque chose ne va pas, mais il ne sait pas quoi faire de son état. Le vieux sage lui enseignerait bien que cette étrange sensation c’est l’envie de vendre. Mais l’investisseur ne comprendrait pas
Les enfants ne veulent plus être pompiers, ni vétérinaires, ni président, ni super – héros, ni gentils, ni méchants. Les mythes et les fictions ne leur parlent plus. Ils n’en ont plus besoin peut - être. Désormais, il y a mieux comme projet de « quand je serai grand ». L’IA.
Le président américain revisite tous les sujets. Economie, géopolitique, justice, climatologie, vaccinologie, sociologie, art, éducation… Mais il y a un domaine auquel il n’a pas encore osé s’attaquer. La logique.