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Marie K. - Observatrice du quotidien.

Autrice engagée, chroniqueuse sociale
Nîmes - France
  • Filles perdues, cheveux gras : L’insoumission au naturel

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    Cet article fait suite au précédent où j'évoquais ma collaboration explorative avec ChatGPT. Ici, j’aborde la marginalité et l’écriture comme acte de résistance. Parce qu’au-delà de l’outil, il reste l’urgence de dire, de ne pas rentrer dans les rangs, même quand tout pousse à le faire.
  • « Dialogue avec un robot : entre fascination et malaise »

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    Aveu de justesse mais pas de faiblesse : Oui, je collabore avec ChatGPT depuis le 7 mars dernier, sur un coup d’impulsion. Et ce n’est pas pour la frime, mais par souci d’honnêteté intellectuelle et d’intégrité morale qu’aujourd’hui je l’exprime. (Et là, c’est moi, Marie, qui vous le dit sans sa participation.)
  • De la rage à l’aseptisation : Histoire d’une récupération culturelle

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    « Le rap en France, des années 90 à aujourd'hui, a traversé bien des transformations. De culture de contestation née dans les quartiers populaires, il est devenu une marchandise récupérée par une bourgeoisie blanche middle class qui l’a aseptisé. Retour sur l’histoire d’une appropriation qui n’a pas dit son nom. »
  • "L’Hymne des Femmes : Autopsie d’une imposture"

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    L’Hymne des Femmes prétend à la révolution, mais il perpétue des visions négrophobes, ethnocentrées, androcentrées . Comment parler d’émancipation en ignorant les réalités de tant de femmes laissées sur le carreau par ce chant ? Il est temps d’en finir avec cette imposture.
  • Pouvoirs parallèles

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    On croit parfois que les marges s’opposent au pouvoir (bourgeois), qu’elles en sont l’antithèse. Mais à Nîmes, comme très certainement ailleurs, elles en rejouent les codes. Entre héritages archaïques et modernité sous contrôle, l’underground se retrouve façonné par les mêmes dynamiques que celles qu’il prétend fuir. Quand la subversion devient un décor, qui tient vraiment les rênes ?
  • On ne s'échappe pas sans raison.

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    "Quand l’étau se resserre et que le piège est déjà tendu, fuir devient la seule option. Pas un choix, pas une stratégie, juste un réflexe de survie. Pourtant, ceux qui fuient sont toujours ceux qu’on accuse, pendant que les vrais coupables verrouillent chaque issue. Jusqu’au jour où ils se retrouvent, à leur tour, acculés par leur propre lâcheté."
  • Les manœuvres s'oublient , les trahisons restent .

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    Elles n’ont jamais choisi la lutte, elles ont suivi le courant. Pas par conviction, mais par procuration. Elles ont verrouillé des places, invisibilisé celles qui ne leur convenaient pas. Malgré les secousses et ce genre de climat de grosses tempêtes, ces femmes-là continueront de maintenir leurs masques aussi longtemps que necessaire par crainte de perdre contrôle et acquis.
  • Putride, archaïque et barbare : la corrida à l'épreuve du temps.

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    Loin d’être un acte de résistance, la corrida incarne une domination implacable d'un système où l’exploitation et la souffrance sont sacralisées pour préserver l’ordre établi. Qui sont ces hommes (et ces femmes, traitresses à leur cause) pour s’arroger le droit de décider de la vie et de la mort du vivant sous n'importe quels prétextes , comme celui du loisir ?
  • Angoisse de castration, illusion de contrôle et mascarade sociale : coup d’essai

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    On performe tous quelque chose. Par peur du rejet, par conditionnement, par réflexe/instinct de survie . Virilité, féminité, pouvoir : des jeux de rôles qui nous enferment et nous opposent. Comment en sortir pour construire autre chose que cette guerre permanente du trop ou du pas assez ?
  • Féminisme toxique : entre-soi, pouvoir et trahisons

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    "Depuis plus de 25 ans, je ne suis plus dans aucun confort, ni social, ni matériel. J’ai vu de l’intérieur comment le féminisme dominant exclut, contrôle et manipule. Aujourd’hui, je refuse d’être complice."