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Qu'est-ce qu'une société en bonne santé? Il semble bien que l'actualité nous incite à expérimenter de nouvelles formes d'adaptation à notre environnement... Revisitons Darwin, le courant pragmatiste avec William James et John Dewey, invitons le soin dans les débats...
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Les César, le Coronavirus, le climat, les élections municipales... L'actualité médiatique des derniers jours et le caractère virulent de certaines prises de position viennent nous rappeler à quel point il est difficile de dialoguer sans en passer par l'invective, les clivages, les jugements et la volonté d'avoir raison....N'est-il pas possible d'apprendre de ses contradicteurs?
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Faut-il être gentil ? La gentillesse est-elle une force ou une faiblesse ? Est-ce que le fait d’être trop gentil rend vulnérable ? Peut-on regretter d’avoir été gentil ? Doit-on s’entraîner à ne pas être trop gentil ?
Ce sont des questions que l’on entend souvent, la gentillesse a mauvaise presse. On l’oppose à la force de caractère, au leadership, à l’authenticité, à l’affirmation de soi.
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Les injonctions liées à l'empathie, la bienveillance, la gentillesse sont souvent tournées en dérision, et pour cause, leur effet n'est pas démontré...
Si ces appels trouvent surtout un écho chez ceux qui sont déjà convaincus, comment les mettre au service d'une éthique relationnelle sans tomber dans une forme de moralisation?
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Mettre en place des groupes d'analyse de pratiques, c'est faciliter la verbalisation et donc la "mise en MOTS" d'expériences vécues au travail, salarié ou bénévole. C'est interroger aussi les MAUX ainsi dévoilés.
La philosophie semble donc toute légitime pour interroger ces mots et ces maux...
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On célébrait hier, jeudi 21 nov., la journée mondiale de la philosophie qui depuis 2005 nous offre une belle opportunité de rappeler la place que tente de prendre la philosophie au service de relations humaines pacifiées... On la trouve de plus en plus en des lieux inédits, et pas seulement sur les réseaux sociaux où certains philosophes tentent de transformer les échanges en dialogue!
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Si vous êtes responsable d’équipe, de groupe (en entreprise, association, milieu éducatif, …) vous avez évidemment besoin de pouvoir compter sur les membres de votre équipe et vous vous demandez souvent comment créer ou renforcer l’implication de chacun. S’agit-il d’engagement de ces personnes, ou de motivation ?
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L'engagement est une forme d'implication qui est souvent l'objet de malentendus. Et si l'on tentait de passer par la définition pour mieux le comprendre, en comprendre les contours, et réfléchir à nos pratiques de conduite d'équipes ou de ce qu'on appelle communément la "gestion de projet"...?
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Si on a bien compris que la motivation et l’implication des personnes ne se décrétaient pas, pourquoi alors vouloir leur donner l’espoir de lendemains qui chantent, d’accès au bien-être et au bonheur, d’un emploi de rêve, de vacances inoubliables, … ?
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La notion d’intuition mérite sans doute d’être réhabilitée tant elle a été malmenée, notamment dans le monde professionnel. Mon propos, dans les lignes qui suivent, vise à rappeler à quel point l’intuition est le fruit d’un véritable effort et qu’elle manifeste une ouverture au monde qui laisse découvrir de multiples potentialités pour celle ou celui qui saura lui faire confiance.