L'automne offre couleurs et beauté. C'est aussi la saison scolaire par excellence : nouveaux cours, nouvelles rencontres, bonheurs neufs, amours et mélancolie. Le premier trimestre 2020-21, hélas, restera celui de l'horreur : octobre des fauves !
Il y aurait Paris et ..."les territoires" ! Vous savez quoi : les indiens n'en peuvent plus d'être parqués et traités de haut. Aussi cessez de nous gaver avec le mot "territoires" !
La fracture se creuse entre urbains porteurs de masque permanents et campagnards libres de respirer en pleine nature. La cambrousse n'est plus ce qu'elle était !
Un petit coup de blanc, de bon matin ? Pas de refus mais c'est un peu tôt ! En montagne le dérèglement climatique s'accentue. Les glaciers fondent, les parois s'écroulent, mais la neige n'a pas dit son dernier mot. Une tombée fin septembre, et le troupeau s'affole...
Ils s’appellent Vinci, APRR, AREA, ASF, SANEF, etc. Ce sont les nouveaux détrousseurs du bitume, les écumeurs du macadam. Chaque jour qui passe ils font des profits exorbitants sur le dos des Français. Chaque année ils augmentent leurs tarifs. Ils sont devenus, avec la bénédiction des gouvernements successifs, les rois du pétrole, les malandrins des temps modernes.
Un trésor : la lande maritime bretonne ! A parcourir tranquillement, à pied. A fréquenter en toute zénitude. Un espace protégé depuis la fin du XXème siècle. Comme quoi, il est possible de préserver nos richesses naturelles...
Rentrée masquée dans les grandes cités. Populisme et dictatures au galop. Il faudrait pouvoir rester au bord de l'eau et admirer les papillons de l'été 2020 !
L’azur assurément ! Mais jamais rasoir, jamais barbant. Le bleu breton est changeant, réjouissant. Il s’offre au gré des lumières célestes ou des reflets marins, au choix des vents dominants ou des souffles déviants, au flux éternel des marées ascendantes et régressantes.
A l'heure où l'on parle de rouler à 110 km/h sur les autoroutes, où la vitesse au volant est devenue un brin ringarde, je me rappelle un fait divers passé inaperçu. Et pour cause il me concerne directement et il n'a eu que quelques rares témoins. C'était il y a un demi siècle pile poil : une autre époque.