C’est un spectacle permanent, un ballet incessant : sous le soleil de juillet, abeilles et papillons butinent la lavande de mon jardin ! Alors je pense : profitez-en les petits, le sénateur Duplomb n’est pas dans le quartier. Il n’y a pas de pesticides ici. Et pas d’élus empoisonneurs non plus …
C’est un spectacle permanent, un ballet incessant : sous le soleil de juillet, abeilles et papillons butinent la lavande de mon jardin ! Alors je pense : profitez-en les petits, le sénateur Duplomb n’est pas dans le quartier. Il n’y a pas de pesticides ici. Et pas de députés empoisonneurs non plus …
Qui se souvient encore, y compris dans les rangs écologistes, du gars Fournier ? Un visionnaire qui alertait sur l'avenir sombre de la planète . Fournier avait deux pages centrales dans Charlie Hebdo. Ce fut mon baptême en écologie et cela date d'un demi-siècle. Depuis, la situation n'a fait qu'empirer et Fournier a été oublié.
C’est un spectacle gratuit, un médicament contre les fureurs de la vie. Nous en avons bien besoin par ces années d’angoisse et d’incertitudes. Il suffit de s’arrêter, de se poser et d’ouvrir les yeux…
Ma route entre Cotentin et pays d'Auge passe par Omaha Beach. On n'échappe pas, dans cette région, aux centaines de drapeaux tricolores associés qui flottent au vent du large. L'amitié franco-américaine est tangible, prenante. Comment croire qu'un type à chevelure orange et neurones en cavale puisse ternir ce passé ?
L'incendie de la discothèque en Macédoine du nord, ce dimanche 16 mars 2025 (au-moins 50 morts) rappelle celui du dancing "le 5-7" en France à Saint-Laurent-du-Pont (Isère). 146 jeunes avaient péri pendant la nuit de la Toussaint 1970. Pour rappel, voici le documentaire que nous avons réalisé en 2010 avec Benjamine Jeunehomme et José Manzanarès.
La chanson débute au paradis. Elle s’achève en enfer : « un jour ou l'autre il faudra qu'il y ait la guerre ». Les mots de Nino semblent proches de la réalité. Une ombre passe sur mes habitudes printanières
Les temps changent mais sur ma route le ménestrel des sixties est toujours là. Certains découvrent Dylan. Pour moi c'est un vieux pote de sentier. Like a rolling stone sous mes savates de rando.
Quand je descends, pédestrement, faire mes courses au village, je passe inévitablement devant la boîte à livres ancrée place du marché. Je viens d’y croiser un voyageur particulier, le dénommé Céline. J’ai tenté un bout de chemin avec lui. Impasse totale.