Des ONG, lors de la dernière session du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, viennent de demander la création d'une commission d'enquète et d'un Tribunal International, pour juger les responsables du "massacre des prisons de 1988, en Iran". Cette demande vient à point nommé après la publication d'un enregistrement audio, datant de l'été 1988,mettant en cause des responsables politiques iraniens
La réinstallation des réfugiés du camp Liberty dans des pays tiers, notamment en Albanie, et dans d'autres pays européens, consacre l'échec de la stratégie hostiles du régime de Téhéran, pour écraser la résistance de l'OMPI. Le succès du transfert de ces réfugiés conforte le rôle d'opposition de l'OMPI, et renforce le soulagement des défenseurs des droits humains,malgré les difficultés rencontrées
L'enregistrement audio d'une conversation entre l'Ayatollah Montazéri et d'anciens membres "des comités de la mort", datant d'Août 1988, provoque un véritable séisme en Iran, ou la stupeur et l'étonnement se manifestent chez les autorités iraniennes. La publication de cet enregistrement constitue une sorte de vengeance posthume de Montazéri, pour disqualifier à postériori le régime de Khomeiny.
Un succès diplomatique pour la Résistance iranienne lors du rassemblement du Bourget, ou de très nombreux manifestants sont venus acclamer des délégations venues du monde entier, et de différents continents, pour souhaiter la liberté et la démocratie en Iran.
Mardi 31 Mai se déroulait, sur France Culture, une émission, intitulée " voix de la Résistance iranienne" , et qui donnait la parole au principal mouvement d'opposition au régime des Mollahs. l'occasion de découvrir le parcours d'hommes et de femmes engagés dans le combat contre la dictature religieuse en Iran, et pour un programme prônant l'égalité homme femme en Iran.
Un châtiment "exemplaire", qui confirme la misogynie des mollahs iraniens: une femme fouettée de 100 coups de fouets et condamnée à 15 ans de prisons pour "immoralité".
Sara Najafi, artiste iranienne, souhaite faire venir en Iran, une équipe de chanteuses françaises. Et veut organiser, à Téhéran un concert de musique traditionnelle iranienne, alors que la pratique du chant féminin est officiellement interdite en Iran, en public, depuis les débuts de la République Islamique d'Iran, en 1979.