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Entre le déni d'un Christian Jacob comme celui d'Emmanuel Macron, la dénonciation d'un complotisme par les commissaires de police, la dénégation et la prise en otage par nombre d'organisations syndicales qui crient au scandale, mais dont c'est la complaisance qui est scandaleuse, SUD intérieur tente de proposer une analyse et des solutions.
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Un mandataire désigné par un juge des tutelles empêche un couple de se voir depuis cinq ans et demi, depuis que Françoise est tombée malade et qu'elle a d'autant plus besoin de Jean. C'est à Villeneuve d'Ascq. La justice reste sourde à cette séquestration. Une plainte avec constitution de partie civile est déposée et une instruction est ouverte à Lille. Mais Françoise est toujours isolée.
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Médiapart a révélé les propos mensongers de l'ancien procureur de Nice à propos de l'agression et des coups et blessures dont a été victime Madame Legay par les forces de l'ordre. Le ministère public a une obligation d'impartialité. Cela exclut nécessairement le mensonge qui, s'il persiste dans un écrit, constitue un faux en écriture publique.
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Ce n'est pas une idéologie. C'est la forme de communication politique adoptée par une grande majorité de dirigeants, plus soucieux de communication et de forme que du fond, c'est-à-dire de politique et de bien-être général, qu'ils soient israéliens, français, hongrois, états-uniens, brésiliens, russes, nord-coréen, philippins, britanniques, polonais, ...
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Sophie Boutboul, Diane Farih et Faïza Zerouala publient sur Médiapart un dossier sur la situation des mineurs en France*. Qu'en est-il de celle des majeurs protégés depuis la dénonciation par la Cour des comptes et du Défenseur des droits ? Un tour d'horizon sur le droit en la matière et un rappel des impératifs catégoriques en la matière.
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Pour ceux-là, c'est le coronavirus qui sert de test en soulignant les conséquences dramatiques de leur ineptie sur la santé de la population et de l'économie. Ils ont imposé une régression sociale prohibée au prétexte de la dette publique dont ils sont responsables pour se justifier de la destruction des services publics et du tissu industriel qui font aujourd'hui gravement défaut.
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"Gauche" définit la situation d'un siège par rapport au président de l'assemblée des députés ou des sénateurs. L'histoire et l'actualité comptent un nombre de personnes qui, assises à "gauche", ont fait réprimer la population et favorisé le profit des "investisseurs" et imposé une politique de régression sociale. Une information honnête commande l'abandon de cette expression.
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Le coronavirus, l'infiniment petit, menace l'économie globalisée, l'infiniment grand. Il révèle aussi la dérive de la réification néolibérale à s'emparer de tout pour faire du profit : le savoir, les sciences, l'environnement, la vie et notamment la santé. Le Covid-19 est un produit de l'économie casino, qui ne favorise que quelques gagnants et fait beaucoup de perdants.
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Le pouvoir prépare l'opinion au tri des malades plutôt que de débloquer 10 milliards d'euros nécessaires à garantir l'accueil de tous les malades et la sécurité des soignants. Son cynisme comptable s'inscrit dans la logique des premiers de cordées qui seront les seuls sauvés ; les autres étant invités à taire leur angoisse en attendant de tomber malade et de disparaître, faute de moyens.
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La destruction des services publics et la politique de régression sociale inconventionnelle font que l’hôpital public n’est plus en mesure de remplir sa mission (1). Si l’épidémie est fortuite - à condition de démontrer l'existence d'un contrôle sanitaire efficace de la chaîne alimentaire - la majorité est seule responsable d’une crise sanitaire prévisible du fait de sa mauvaise gestion publique.