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... et fameux “coLibs”, vieux “communistes libertaires” connus comme des loups blancs pour les nombreux (je plaisante, je plaisante...) lecteurs assidus de ces blogs, voyagent de 1898 à 2033 chez les marxistes, les libertaires, les autres, et surtout chez les descendants de ces coLibs : de nouvelles uchronies politiques où Éros est encore préféré à Thanatos... (Préliminaires)
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Après un long vide concernant l’échec de Valls pour un accord en Calédonie, enfin des réactions claires ! Quoique... Valls se réveille, persiste, mais précise sa pensée ; la gauche (même LFI) salut son initiative ; Wauquiez (l’un des rares de droite en Métropole qui se soit exprimé clairement) s’est énervé. Mais Macron est bien taiseux, la Belle Calédonie restant un caillou dans sa chaussure...
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... comme de Gaulle l’avait fait à Alger lors de son discours du 4 juin 1958 devant les partisans de l’Algérie française, mais s’adressent surtout aux musulmans, avant de passer aux Accords d’Évian ? On le saura peut-être lors du Conseil des ministres de mercredi 14 mai. Ce "billet" commence le lundi 12 mai, à la recherche de la position exacte de l’État ; on verra quand on l’arrêtera !
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Il aurait proposé, et ça semble se confirmer, une sorte d’indépendance-association ; et pas tout seul, avec Éric Thiers le Conseiller spécial de Bayrou. Pourtant, il pouvait bien sûr s’attendre, de la part des loyalistes radicaux, à un "Échec et mat" (en persan, le "roi", "Shah", est "mort", "mat"). "Cavalier seul", Valls, ou stratégie assumée de l’État ? Là est la principale question qui reste
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Habemus papam mais pas le compromis de Godot-Valls. D’après les loyalistes radicaux qui ont tout saboté, comme prévu et depuis longtemps, sa proposition était de promouvoir une sorte d’indépendance ! À voir cependant de quel type exact de souveraineté partagée il s’agit... Mais, sauf erreur, les indépendantistes restent muets
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Qui ne s’en doutait pas ! Mais ça ne veut pas dire que c’est fini : encore quelques coups de clairon et hop ! Mais un autre « miracle » s’est produit hier : on connaît enfin le PIB calédonien de 2023... Et c’est un cru d’exception ; on en sait un peu plus sur ce que sera celui de 2024, une grande piquette, évidemment. On continuera donc demain l’analyse de la quête de Valls
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... les murailles ne tombèrent pas ce mardi 6 mai au soir, septième jour d'assaut par le ministre des Outre-mer des murs de la discorde : il faut donc encore, de sa part, des coups de trompette, de clarinette ou de pipeau !
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Le début du « conclave » (dont l’étymologie latine est « cum clave », avec clé, sous clé) celui de Calédonie pas l’autre de la chapelle Sixtine, se tiendra en effet à l’hôtel de luxe Sheraton de Bourail. On attend la « fumée blanche », mais sans doute pas pour aujourd’hui, qui donnerait, on peut rêver, « L’Accord de Bourail »...
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Le début du « conclave » (dont l’étymologie latine est « cum clave », avec clé, sous clé) celui de Calédonie pas l’autre de la chapelle Sixtine, se tiendra en effet à l’hôtel de luxe Sheraton de Bourail. On attend la « fumée blanche », mais sans doute pas pour aujourd’hui, qui donnerait, on peut rêver, « L’Accord de Bourail »
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Il a passé son dimanche d’abord sur l’île de Maré (Nengone, dans la langue kanak du coin) en changeant de chapeau : hommage à Yéwéné Yéwéné suivi de la Fête de l’avocat (le fruit). Puis, à Nouméa, hommage à J-M Tjibaou. Enfin, le soir au JT, réaction de Virginie Ruffenach, des « Républicains » : tout sauf l’indépendance, même avec partenariat avec la France. Fin mal barré le compromis...
