Poursuite de notre atelier auquel participent des femmes prises en charge à la Maison des femmes de Saint-Denis. Autour de photos ou de graphisme, des échanges, des partages, les mots des unes qui résonnent chez d'autres.
À la Maison des femmes de Saint-Denis (93), l'atelier « Prendre mots » entame sa deuxième saison. Un nouveau groupe de femmes s'est installé est déjà l'une écrit : « Dans “entendre”, il y a tendre. Allons y avec tendresse. »
Une heure de représentation intense et émouvante à la Maison de la poésie. Les participantes de l’atelier Prendre mots de la Maison de femmes de Saint-Denis ont restitué leur année de travail d’écriture. Avec la participation de l’écrivaine, slameuse et rappeuse Treize.
Superbe écrin pour la série photo « Debout les Reines », réalisée par Louise Oligny avec la complicité de Clémentine du Pontavice et des patientes de la Maison des femmes de Saint-Denis. En écho au procès de Mazan, à voir jusqu’au 5 janvier.
L’exposition d’une participante des ateliers de la Maison de femmes se tiendra du 15 novembre au 1er décembre prochains sur l’Ile-Saint-Denis. Pendant un an, Oriane a conçu et élaboré, à l’aide de dessins, de textes et de modelage, tout un univers lui permettant d’«apprivoiser des monstres».
L’atelier « prendre mots » reprendra en septembre. En attendant, voici trois livres parus récemment et écrits par Louise Oligny et Clémentine du Pontavice, deux animatrices de cet atelier. Du polar et de l’intime.
Dernière séance ce lundi 1er juillet de notre atelier « Prendre mots » à la Maison des femmes de Saint-Denis. On se parle d'amour, on s'écrit des mots doux et il est même question d'igloo...
A la Maison des femmes de Saint-Denis (93), au sein de l'atelier « Prendre mots » il est question aujourd'hui d'animaux imaginaires. Dont un qui peut avoir « l’apparence d’une louve au niveau du visage et la majesté du lion en héritage ».
À l'atelier de la Maison des femmes de Saint-Denis (93), nous nous sommes penchées sur deux caractères chers à Jean-Philippe Toussaint : l'urgence et la patience.
Cadavres exquis et doux souvenirs ce 10 juin, à l'atelier « Prendre mots » de la Maison des femmes de Saint-Denis (93). Une femme a pris sa plume pour écrire à son fils, son trésor, sa bataille : « Vois ces statues dans le jardin, ce n’est pas celui de Rodin où je t’amenais enfant, mais le nôtre. Si un jour en mon absence tu as besoin de te ressourcer, écoute-les, elles parlent notre langue. »