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Le plan de transformation de notre société pour réaliser le modèle libéral anglo-saxon se poursuit : Macron entend privatiser quelles que soient les circonstances. Peu importe l'appauvrissement du peuple, peu importe la crise écologique, peu importe la pandémie. Jamais la France n'a été enfermée à ce point dans un carcan idéologique.
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L’Agence européenne du médicament a décidé d’avancer d’une semaine la réunion prévue le 29 décembre pour se prononcer sur la validité d’un vaccin validé par les autorités sanitaires de la GB le 2 décembre et par celles des USA le 11 décembre. Bel exemple de la lourdeur de la bureaucratie européenne entravée par la collusion et la collision d'intérêts très privés.
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Face aux défis énormes de ce temps, défis nouveaux avec toutes les agressions humaines contre la planète, défis anciens avec le combat sans fin pour l’égalité, j’observe qu’il n’y a plus, en France, une gauche en capacité d’offrir l’indispensable alternative à toutes les politiques mises en œuvre depuis 1983.
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D’immenses souffrances nous attendent si on ne fait pas rupture avec les politiques et les pratiques d’aujourd’hui. Tel est le véritable enjeu de 2022. Il dépasse, et de loin, le sort personnel de tel ou tel candidat potentiel, quelles que soient ses qualités et ses mérites.
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Si chaque parti politique qui se réclame de la gauche veut être présent au premier tour des présidentielles, Macron sera réélu. Si un rassemblement autour d’un projet alternatif et de celle ou celui qui le portera est possible, l’espoir de fermer la parenthèse ouverte en 1983 est permis.
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Personne ne peut nier l'impact national de ce deuxième tour des municipales là où il aura lieu. En fait, le véritable enjeu, au-delà des circonstances locales, est celui-ci : est-ce que le président aura des maires pour soutenir localement sa politique ?
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Les mêmes raisons qui ont poussé à dire « non » au TCE poussent à exiger une remise à plat totale des traités européens et de la jurisprudence de la Cour de Justice de l’UE. On n’unit pas les peuples contre eux ; on ne fait pas l’union des peuples pour les soumettre à une idéologie. C’est l’UE, technocratique et néo-libérale qui a engendré le rejet dont elle est l’objet depuis 2005.
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En France, un homme dirige un peuple, en exerçant un pouvoir absolu, en pratiquant le mensonge, en imposant l’inégalité, en usant de la répression, de la violence, en niant toute responsabilité, en infligeant au peuple son mépris, en exprimant un total déni d’humanité. Un tel régime porte un nom.
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La situation sanitaire est sous contrôle à ce jour. Grâce à des décisions prises dès février. Mais en incitant la population à s'opposer à certaines mesures prises par le gouvernement, les ONG locales de droits de l'Homme, poussées par l'Occident, ont pris le risque de favoiriser une diffusion de l'épidémie.
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Après avoir minimisé un danger dont ils étaient informés dès janvier, ces trois dirigeants ont perdu en improvisations désordonnées et contradictoires le mois de février. Ils cherchent maintenant à fuir leurs responsabilités en se défaussant sur la Chine.