Vous me copierez deux cents fois le verbe : Je n’écoute pas. Je bats la campagne. Je bats la campagne, tu bats la campagne, Il bat la campagne à coups de bâton. La campagne ? Pourquoi la battre ? Elle ne m’a jamais rien fait ...
On entend, ici et là, de rares personnes, souvent passionnées, euphémisme appliqué à des gens mal coiffés, agités, au débit fécond mais un poil rapide, pour ne pas dégrever la pertinence de leur propos, se gausser, voire pisser à la raie du concept obscène de pouvoir d’achat.
Hulot. C’est le nom du refus d’obstacle, d’une forme de lâcheté, d’une absence totale de franchise. L’ homme qui porte ce nom vit depuis des décennies dans le mensonge, le faux-semblant ; derrière lui, un bruit de fond de culpabilité, de tromperie, d’imposture et d’illégitimité.
Le Delta, le B.1.1.529, les exilés fuyant la terreur instaurée par Darmanin à Calais, auront eu raison, enfin, de l’omniprésence de Zemmour sur les antennes.
Toutes les études montrent que les préoccupations des Français sont la santé, le pouvoir d’achat et la sécurité ... La pandémie a accéléré la montée en puissance d’un sentiment déjà très présent dans l’opinion, comment ne pas le comprendre ?
Sans me renier, je dois faire un point sur ma précédente chronique. Bien sûr que tous les français de cette époque, 2ème Guerre Mondiale, n’étaient ni pétainistes, ni antisémites, et sûrement, pas non plus collaborationnistes.
Il faut de TOUTE URGENCE procéder au GRAND REMPLACEMENT des amnésiques qui poétisent l’enterrement du dernier des 1038 résistants sur 41 millions de français en 1945.
Les populations constituant les sociétés contemporaines, évoluées vers l’âge adulte dans l’étau éducatif utilitariste du néo-libéralisme, sont-elles adultes ? C’est le sujet du livre Grandir de Susan Neiman, paru aux éditions Premier Parallèle