Les mesures anti-Covid deviennent pénibles, douloureuses et minantes. Les jeunes générations en payent le prix fort. Les étudiants dépriment et parfois se suicident. Les jeunes en âge de travailler sont au chômage, l’université se fond dans un enseignement tout à fait inhabituel.
L’Eglise est gangrenée par des gens qui se montrent très actifs sur les réseaux sociaux. Ils croient à leur « Vérité », à leur liturgie, à leurs principes et n’ont de cesse que de l’imposer aux autres. Ils ont horreur du Pape François et pour la plupart d’entre eux, rejettent l’autorité des six derniers Papes.
L'actualité récente nous met très près de nous, à portée d'engueulade diraient certains, des situations qui nous dérangent terriblement. Que ce soit Georges Floyd, le mouvement Metoo, ou le cri d'alarme des scientifiques pour le sauvetage de la planète, nous recevons ce qui est dit en pleine gueule et nous nous voyons intimider l'ordre de changer nos habitudes...
La sortie de Julien Odoul (RN) au Conseil Régional de Bourgogne n'est pas passée inaperçue. Ce discours absolument illégal quant à son contenu cachait une humiliation publique et décidée.
Le 28 mai dernier, je publiais un tweet qui a suscité, bien malgré moi, un déferlement de haine. Beaucoup y ont vu de la provocation. Or, telle n'était pas du tout mon intention. Je dis ici ce que ce tweet évoque en moi.
Je n’en reviens pas. Je suis sûr que vous êtes au courant de ces lettres. Peut-être les avez-vous lues. Mais l’absence de réaction de votre part me fait énormément plaisir. En d’autres temps, vous auriez sauté sur votre clavier pour me dire votre façon de penser. Votre silence vous honore.
Je continue ici à vous livrer ce que j'ai à vous dire, mon cher Jean-Christophe. Le langage du coeur est le meilleur pour moi. Mais j'ai vraiment du mal à accepter que vous ne l'utilisez jamais.
Il y a bientôt 5 ans que nous nous connaissons, mon cher Jean-Christophe. Notre "relation" est un enfer pour moi. J'ai décidé d'en parler dans une suite de lettres dont celle-ci est la première.
Il y a quelques années seulement, je ne me posais pas la question de savoir si être chrétien, cela nécessitait de voter à gauche ou à droite. Ici en Belgique, le clivage gauche-droite est bien moins installé qu’en France.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.