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  • « L’excision, ça va finir, ça va changer. On est fatiguées de ça »

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    Ce 6 février, nous honorons la journée internationale pour l’abolition de l’excision, une bonne raison pour écrire un papier. Dans ce billet, je vous emmène dans un groupe de paroles pour femmes excisées. Par leurs mots, ces survivantes révèlent les enjeux pour une lutte sociale contre l’excision. Comme l’exprime Rokhaya : « L’excision, ça va finir, ça va changer. On est fatiguées de ça. »
  • Mayotte dévastée par Chido et le système capitalocène et colonial

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    Mayotte a vécu le pire cyclone de son histoire. Cependant, l'intensité des dégâts observés repose sur deux autres facteurs : le système capitalocène qui détruit la planète et le capitalisme colonial qui organise un traitement racial des territoires d'outre-mer. Aujourd'hui, on ne peut penser les catastrophes naturelles sans prendre en compte les rapports de domination.
  • Les territoires d’outre-mer existent, leurs enfants aussi

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    soj
    Nous savons que les violences pédocriminelles sont plus importantes dans les territoires ultramarins qu'en métropole. Pourtant, l'Etat français fait la sourde oreille face aux enjeux de la protection des enfants. Ainsi, ces enfants sont les oubliés de l'Etat français, offerts à la violence masculine patriarcale dans des territoires invisibilisés en raison de la gestion coloniale des outre-mer. 
  • Affaire Gisèle Pelicot : l’impossibilité d'analyser les violences masculines

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    L'échange entre Rokhaya Diallo et les éditorialistes de FranceInfo montre l'impossibilité de discuter de la violence masculine sans provoquer des réactions de fragilité de la part des hommes. Toutes les stratégies sont mises en oeuvre pour empêcher une analyse politique du viol, alors même que Gisèle Pelicot, femme puissante, refuse le huit-clos pour faire de ce procès un épisode politique majeur
  • La parentalité positive/bienveillante contre les classes populaires ?

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    La parentalité positive/bienveillante disqualifie les familles de classes populaires et monoparentales en ne prenant pas en compte les conditions matérielles d'existence, les configurations familiales et les différences ethno-raciales des familles. Pour y remédier, il faut inscrire la parentalité dans les conditions matérielles d’existence et la politiser pour en faire une pédagogie sociale.
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