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La télévision ne reflète pas la société, l’industrie cinématographique ne reflète pas la société, la fonction publique ne reflète pas la société. L’Assemblée Nationale ne reflète pas la société. Bon, mais alors, hormis la société, qu’est ce qui reflète la société ?
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Il convient de déléguer au secteur privé les missions du service public qu’il sera à même d’assurer mieux, et plus efficacement, disait en substance un quelconque ministre tombé dans les oubliettes de l’histoire à un tout aussi quelconque animateur-paillasson, à une heure de grande écoute sur une chaîne qui tient plus du distributeur sélecta que de l’information
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A la différence d’un·e autre, qui n’a pas hésité à nommer son ouvrage ‘Moi, les hommes, je les déteste’. Merci, nous pas. Mais détaillons quand même un chouïa.
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Il était une fois, dans un pays lointain, un jeune (ahem) garçon, qui reçut une lettre. Une lettre du Ministère. Cette lettre était signée d’un certain Nicolbus Sarkezore, et l’informait de son admission à l’école de Magie de Flamanville. Elle commençait par ces mots…
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CETA, TAFTA, ASEAN, ALENA, MERCOSUR... Un ensemble de sigles sans signification claire, sans visage, sans âme... Et sans odeur, comme l'argent. Ces entités sont sous les feux de la rampe (une fois n'est pas coutume), et soulèvent une armée de technocrates cravatés (pour les défendre) et de zadiste barbus (pour les attaquer). EH bien on ne va pas en parler...
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Qu’est-ce qu’un jeu à somme nulle, pour commencer ? Et qu’est-ce que ‘Destins’ ? Que les plus jeunes (et les plus âgés me pardonnent cette référence, mais ‘Destins’, c’est le jeu de la vie, celui où vous pouviez, sur un plateau de jeu, être millionnaire, ruiné, ou PDG.
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Dans le Diplo, estimable journal s'il en est, un article il y a quelques jours dénonçait 'L'impasse des politiques identitaires'. Ledit article relevait un glissement significatif d'une rhétorique sociale, héritée du communisme, vers une rhétorique identitaire, plutôt issue celle-ci du monde capitaliste. Evidemment, on ne répondra ni par oui, ni pas non à cette question.
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Donc, où en étions-nous avec nos braves barons voleurs. Et bien quelques autres éléments peuvent illustrer ce fameux (discutable, discuté, mais pas disqualifié) parallèle entre leur époque et la nôtre. Plus sensationnellement, Mark Zuckerberg est-il le nouveau Rockefeller ? Vous le saurez en lisant ces lignes.
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Suite du propos de la semaine dernière, ou pourquoi, comment (et ou, et quand, etc...) on peut habilement s'inspirer d'une autre bien belle époque de l'histoire de l'humanité pour comprendre (un peu) ce qui nous arrive aujourd'hui, ou pas...
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La Révolution Industrielle... Ses fumées noires, ses odeurs de charbon et de sueur, son vacarme triomphant sur fond d'Aïda, de Verdi. Il y eut Dickens en Angleterre, Zola en France, Twain aux Etats-Unis, et bien d'autres encore ailleurs. Mais la Terre (du moins sa partie occupée par des Occidentaux, la seule réellement comptabilisée à l'époque), n'était pas peuplée que d'ouvriers