La militante et blogueuse marocaine Saïda El Alami a été arrêtée le 1er juillet 2025 à Casablanca, jugée sans avocat et condamnée à trois ans de prison pour « diffusion de fausses allégations » et « outrage à des institutions ». Son affaire, dénoncée comme arbitraire par des ONG, révèle une stratégie systématique pour museler les voix critiques au Maroc.
L’installation d’une usine israélienne de drones kamikazes au Maroc marque un tournant dangereux : Rabat devient un maillon de la stratégie militaire israélienne, avec des risques accrus pour la Palestine, l’équilibre régional et la stabilité interne du pays.
Quand Céline écrit, il y balance ses tripes. Houellebecq, lui, fait son marché : il vend son âme, son cul, et suce les puissants pour rester dans les salons. Ce texte, c’est une rafale, une guerre au style en pantoufles, une mise à mort de la littérature de canapé. Retour du scalpel. Place aux mots qui saignent.
Assigné à résidence pour crime de lecture, réduit au silence pour avoir écrit sur Gaza. Dans un monde où lire Céline ou nommer un génocide vaut condamnation, je confesse mes fautes : avoir lu, avoir écrit, avoir résisté.
Sous couvert de démocratie, la France glisse vers une xénophobie d’État, armant des criminels de guerre tout en criminalisant la solidarité. Ce texte mêle mémoire et lucidité : de la collaboration sous l’Occupation à la résistance palestinienne d’aujourd’hui, il dévoile les visages multiples de la trahison et de la dignité.
Un régime policier ne vit que par la peur, la calomnie et la répression. Des services de renseignement aux juges aux ordres, des médias de propagande aux baltajis de l’ombre, chaque rouage broie la dissidence et orchestre le pogrome anti-information. Mais jusqu’à quand ? enfin de camp ?
Face aux dérives de l’ultra-libéralisme, un nouveau visage du fascisme émerge, déclenchant des génocides en Palestine, au Congo, en Syrie, au Soudan, et menaçant bientôt l’Irak et le Liban. Cet article examine comment une idéologie de profit et d’impunité transforme la géopolitique en tragédie humaine.
Une zone surpeuplée, sous blocus, sans perspective d’échappatoire.
• Des frappes aériennes répétées, causant des milliers de victimes civiles.
• Des infrastructures vitales anéanties : hôpitaux, écoles, stations d’eau.
• Des sanctions collectives bafouant le droit international, laissant une population à genoux