En cette période pénible de confinement, moult allégations farfelues sont confusément diffusées et relayées sur les réseaux sociaux, quant aux causes virtuelles de morbidité (en particulier de la Covid-19) et à leurs effets potentiels sur la santé humaine. Et cela au risque d’intoxiquer gravement les esprits et de tourmenter davantage des âmes profondément éprouvées.
Les mesures préconisées par l’Université américaine John Hopkins (Maryland) contre le mystérieux coronavirus, avalisées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), semblent globalement saines et pertinentes, faute d’être innovatrices.
Le blanchiment artificiel de la peau connaît un engouement dans plusieurs pays de la planète, où le teint clair est considéré comme un critère saillant de joliesse et un signe apparent d’aisance sociale. Cette pratique bornée renvoie toutefois au mythe éculé de « l’esthétique blanche », érigée en un modèle obstiné de faire-valoir qui sacrifie la santé précieuse à la beauté artificieuse.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) appelle l’Afrique à « se réveiller » pour « se préparer au pire », eu égard à la précarité des systèmes de santé existants et au rythme rapide de la propagation internationale du coronavirus. Or, des esprits sceptiques évoquent la chaleur ambiante dans le continent, propre à contrer l'agent pathogène qui, de surcroît, ne serait pas « un organisme vivant ».
L'épidémie du coronavirus étant à ses débuts, il n’est pas exclu d’imaginer, pendant un certain temps, le globe terrestre en une sorte de prison planétaire. Il importe en priorité de s’intéresser activement à l'origine mystérieuse de la maladie, toutes choses du monde vivant étant par excellence causées et causantes.
Une ancienne molécule fait actuellement florès et suscite des débats passionnés autour du traitement du coronavirus dans plusieurs pays de la planète bleue, sur les réseaux sociaux et au sein de la communauté scientifique : la chloroquine. Aussi y a-t-il lieu de redouter l'esbroufe en temps de malheurs affligeants.
Saxophoniste de légende, doté d’un exceptionnel talent, le Camerounais Manu Dibango, surnommé « Papa Groove », est né le 12 décembre 1933 à Douala et décédé le 24 mars 2020 à Melun. Il aura inspiré moult générations d’artistes et marqué des nuées de mélomanes dans les continents habités du monde entier.
Le Ministère de la Recherche Scientifique et de l’Innovation (MINRESI) vient d’annoncer la « forte riposte » du gouvernement contre les chauves-souris, à l’origine discutable du délétère coronavirus, au risque de soupçonner aussi les malheureux pangolins initialement accusés (sans preuve) par la Chine et d'ignorer d’autres sources pathogènes du micro-organisme maléfique.