Selon une étude de l’Université australienne de Nouvelle-Galles du Sud, qui vient d’être publiée dans le journal « Infectious Agents and Cancer », il y aurait un lien vraisemblable entre le cancer de la prostate et le cancer du col de l’utérus (1). Que peut-on en espérer par rapport à la difficile prophylaxie des adénocarcinomes ?
Selon une récente étude britannique, l'immunité individuellement acquise, après avoir dompté le mystérieux coronavirus sorti de la boîte de Pandore, disparaîtrait malheureusement en quelques mois pour retourner dans la jarre de stockage des malheurs humains, écrasant d'une égale massue les perspectives d'un vaccin actif à long terme et d'une fin rapide de l'épidémie.
La Table des peuples de la Genèse attribue à Noé et à ses trois fils, Sem, Cham et Japhet, l’origine des habitants de la Terre, à la fois généalogiquement distincts et collectivement apparentés, dans un monogénisme amphibologique et diversement interprétable à force d'équivoques théologiques rebattues ou reconsidérées.
La pratique solennelle des funérailles semble progressivement tomber en désuétude dans plusieurs parties du globe, alors qu’elle est plutôt restée vivace dans les communautés africaines en général, et dans les traditions ethniques subsahariennes en particulier. Qu’en est-il à l’ère sombre du coronavirus et de ses successifs variants probables ?
La science économique est censée étudier comment les ressources plus ou moins rares sont utilisées pour satisfaire les besoins humains de consommation, de production et de distribution. Qu’en est-il à la lumière de la crise actuelle?
La gouvernance se définit, de manière générale et laconique, comme l’orientation des systèmes décisionnels, des domaines d'activités et des ressources multiformes vers des aspirations réalisables et des objectifs de performance contrôlables. Qu’en est-il lorsque cette dynamique amorcée est confrontée à une forte incertitude qui brise les scénarios d’éclaircie et raccourcit les marges de manœuvre ?
Dans sa sortie médiatique du 25 avril 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déclare qu’il « n’y a actuellement aucune preuve que les personnes qui se sont remises [à la] Covid-19 et qui ont des anticorps soient prémunies contre une seconde infection ». Le communiqué n’est guère un scoop conjectural, sauf pour ceux qui croient dur comme fer au traditionalisme immunitaire des maux viraux.
La vanité est répandue avec équanimité dans le cercle classique des scientifiques. Loin des dérisoires guéguerres égocentriques, entre des questionnements sur la capacité immunitaire et des signes diagnostiques mouvants, la Covid-19 réserve bien des surprises au gré des options et recherches épidémiologiques en cours.
Le virus SARS-CoV-2 demeure un illustre inconnu, depuis son apparition il y a quelques mois en Chine populaire. Les connaissances éprouvées à ce titre sont manifestement chancelantes et d’autant plus perméables à l’incertitude qu’elles finissent par faire désespérer la science et prospérer la nescience.
En cette période sévère de Covid-19, quelle est la situation de la Confédération helvétique ? Les Suisses adhèrent majoritairement à l’hémi-confinement plutôt volontaire et paraissent tirer leur épingle du jeu. La courbe épidémique est en graduel déclin et suggère la sortie progressive de la « crise coronavirale ».