Cela fait 75 ans que l’industrie pharmaceutique, l’industrie chimique et les autorités de réglementation se fient aux données issues de tests sur des animaux pour soi-disant protéger la santé humaine. Les résultats de cette grotesque erreur scientifique se révèlent au quotidien.
Malgré les tests sur des animaux et malgré les essais cliniques, les effets indésirables des médicaments provoquent des dizaines de milliers de décès par an en France et plusieurs centaines de milliers d'hospitalisations.
Vu la pertinence et la fiabilité de technologies disponibles aujourd'hui, la société civile pourrait invoquer la non-assistance à personne en danger pour inciter les agences de sécurité sanitaire à réaliser une réévaluation pour la santé humaine de tous les produits phytosanitaires ayant obtenu une AMM s’appuyant principalement sur des essais sur des animaux.
Pour certains cancers (environ 5% de tous les cancers), il existe des facteurs génétiques prédisposants. Cependant, et suite à la découverte de l’épigénétique, la science nous informe que nous ne sommes pas aussi soumis à nos gènes que nous pourrions le penser, puisqu’il est possible de modifier le rôle de nos « mauvais » gènes
Le public est incité à croire que la recherche représente la meilleure stratégie pour faire avancer la médecine. Mais qu'en est-il de la prévention, devenue le parent pauvre de la santé publique ?
Les laboratoires de catégorie P4 et P3 signifient que ces structures étudient les virus et les bactéries les plus dangereux de la planète. Quelle idée de faire construire et de maintenir de telles établissements en pleine ville ? C’est bien le cas à Lyon où se situe un laboratoire P4 ainsi qu’à Fontenay-aux-Roses (92) ou se situe un laboratoire P3.
Il est temps d’abandonner les essais sur des animaux mais également l’utilisation des « volontaires » sains pour prétendre à une science médicale rigoureuse et respectueuse du vivant.
La vaccination personnalisée n’est plus de la science-fiction. La science du 21ème siècle reconnaît les différences importantes entre différents individus, comme le démontre la « médecine personnalisée » qui prescrit des traitements très ciblés en fonction du génotype (l’ADN) du patient.
Le public est porté à croire que la recherche représente la meilleure stratégie pour faire avancer la médecine. Mais qu'en est-il de la prévention, devenue le parent pauvre de la santé publique ?
Cette pétition concerne tous les citoyens et non seulement les militants impliqués dans la cause du bien-être animal. Vite ! Avant le 30 avril, signons la pétition : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1254