Pour certains cancers (environ 5% de tous les cancers), il existe des facteurs génétiques prédisposants. Cependant, et suite à la découverte de l’épigénétique, la science nous informe que nous ne sommes pas aussi soumis à nos gènes que nous pourrions le penser, puisqu’il est possible de modifier le rôle de nos « mauvais » gènes
Le public est incité à croire que la recherche représente la meilleure stratégie pour faire avancer la médecine. Mais qu'en est-il de la prévention, devenue le parent pauvre de la santé publique ?
Les laboratoires de catégorie P4 et P3 signifient que ces structures étudient les virus et les bactéries les plus dangereux de la planète. Quelle idée de faire construire et de maintenir de telles établissements en pleine ville ? C’est bien le cas à Lyon où se situe un laboratoire P4 ainsi qu’à Fontenay-aux-Roses (92) ou se situe un laboratoire P3.
Il est temps d’abandonner les essais sur des animaux mais également l’utilisation des « volontaires » sains pour prétendre à une science médicale rigoureuse et respectueuse du vivant.
La vaccination personnalisée n’est plus de la science-fiction. La science du 21ème siècle reconnaît les différences importantes entre différents individus, comme le démontre la « médecine personnalisée » qui prescrit des traitements très ciblés en fonction du génotype (l’ADN) du patient.
Le public est porté à croire que la recherche représente la meilleure stratégie pour faire avancer la médecine. Mais qu'en est-il de la prévention, devenue le parent pauvre de la santé publique ?
Cette pétition concerne tous les citoyens et non seulement les militants impliqués dans la cause du bien-être animal. Vite ! Avant le 30 avril, signons la pétition : https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1254
À l’Université de Strasbourg, des chercheurs ont utilisé de petits primates (ouistitis) pour tester une molécule censée faire perdre du poids. Vu que les humains ne sont pas des ouistitis de 70 kilos, peut-on continuer à justifier ce genre d’expérience sur des animaux au nom de la recherche scientifique ?
Le PEG est actuellement soupçonné d'être à l'origine de réactions allergiques importantes (l’anaphylaxie) observées chez quelques personnes ayant reçu celui des vaccins contre la COVID-19 qui contient des nanoparticules recouvertes de PEG
Comment expliquer que, en 2022, l’industrie pharmaceutique, mais également nos agences de sécurité sanitaire, se contentent d’utiliser des rongeurs, des lapins, des chiens et des singes pour évaluer l’efficacité et l’innocuité des nouveaux médicaments destinés à l'usage humain ?