La propagande est une méthode de guerre. Le couvre-feu est une mesure de guerre, dont l’acceptation est favorisée par un état des lieux sanitaire totalement faussé. Le président Macron avait raison : « nous sommes en guerre… ».
Le ministre de la santé Véran gonfle le chiffres covid autant que ses muscles, avec un résultat garanti : nous rendre tous malades, réellement et virtuellement. Seule la population française peut se prémunir de l’empoisonnement programmé, ce qui exige qu’elle se sorte de l’état d’hypnose.
Le président Macron déclare : "Il est clair que Loukachenko doit partir". Si vous lisez les journaux grand public, oui, "c'est clair". Si vous fouillez dans la culture et l'histoire récents du Belarus, le verdict est : Arrêtez la propagande et le harcèlement des pays occidentaux contre la Biélorussie.
C'est la rentrée... de la maltraitance à l'école et de l'abus d'autorité. Une mère ulcérée récupère sa fille avec mal de tête, sommée d'aller respirer aux chiottes par la bienveillante intendance scolaire. Une autre voit son fils exclu pour refus de port de masque. Opus I d'une série annoncée de pétages de plomb.
Alors que les écoles françaises balancent entre enseignement et maltraitance des enfants, que nos rues se pavent de faces masquées, la contestation des mesures liberticides s’étend dans les capitales européennes, à des échelles très diverses.
Un couple avec leur gamine de 10 ans, dans le train, le père a son masque sur la bouche, pas sur le nez. L'agent SNCF appelle la police, aucun voyageur ne prend leur défense. Le père finit plaqué au sol sur le quai. Personne ne réagit. Pour un masque. Sous le nez. Nous sommes en 2020, pas en 40.
140 "Médicos por la verdad" d'Espagne ont tenu une conférence avec un médecin argentin, états-unien et allemand pour donner leur analyse CRITIQUE sur le Covid-19. Voici le lien vidéo et la traduction écrite qui provient d'un appel à former le collectif des "Médecins du monde pour la vérité".
En novlangue ancienne, le complotiste est le pauv’ gars qui voit le mal partout. Les journaux en parlent, surtout quand il devient gênant et contagieux. Une épidémie de plus à gérer.
Ils ont commencé par placer des directeurs d’hôpitaux aux ordres, noyauter les agences. Les chefs de services acclimatés à la Big Pharma ont pris du galon. Les traitements sont sous contrôle. Une pichenette et les fossoyeurs achèvent l'hôpital.