L’antibiotique est le principal remède utilisé par les médecins pour soigner les malades du covid-19. Dans un courriel du 9 juin, Jérôme Salomon fait pression pour qu’ils arrêtent d’en prescrire, au nom de la « littérature » ; et de quoi d’autre ?
« Moins le besoin sanitaire est réel, plus nous portons de masques », résume l’ancienne chef de clinique Nicole Delepine. Sans compter que rien ne prouve leur efficacité contre la propagation des coronavirus. Le monde de l’absurde ne vient pas “après“. Il est là.
Comment contester une « étude » publiée dans une revue prestigieuse, affichant 96032 malades du covid-19 au compteur, et une mortalité « supérieure » imputée à la chloroquine ? En osant la lire, par exemple.
Le dépistage massif aurait permis de sauver des vies et nos économies, il servira à nous maintenir cloîtrés dans nos peurs et/ou nos domiciles. Les chiffres officiels n’ont pas de sens, la politique de déconfinement consécutive à la politique de létalité non plus.
Un médecin témoigne des pressions de l'État. Dans un pays libre, chacun se réjouirait de la fin de l'épidémie (voir courbe). En France, l'État fait comme si l'épidémie débutait (700 000 tests par semaine après la bataille!?) et demande aux médecins de rompre le secret médical. Gravissime.
Avec des taux de guérison supérieurs à 99,5% pour des milliers de patients traités à la chloroquine+azithromycine, Big Pharma vacille. Sa dernière carte : la thèse de la nocivité. Problème : elle n’est pas crédible.
Le Docteur Gilles Besnainou, avec un collectif de « 18000 médecins » l’affirme : après avoir tâtonné, à cause d’infos contradictoires notamment, les contaminés covid qui se font soigner assez tôt (antibiotiques, macrolides…) ne vont plus à l’hôpital.
« Oui, des traitements existent ! ». Il suffit de ne pas interdire ceux qui ne sont pas nocifs; et que les services de santé les diffusent. Au vu des derniers résultats de l’équipe du Dr Raoult, son traitement est efficace. C’est mathématique. Mais il y en a d’autres.
Nostradamus l'a annoncé d'une voix mielleuse : ce serait le 11. Avec un dépistage piano-piano. C'est un peu comme si la France n'avait pas le privilège de l'Allemagne et de la Corée du Sud, ou que le bon sens était réservé aux simples mortels.
Le protocole européen Discovery exclut de ses tests l’azithromycine préconisée par le Dr Raoult. Le gouvernement français limite le traitement aux cas graves, à rebours des recommandations. Affaire de lobbies pharmaceutiques ? Ce serait trop simple.