Lors de la visite en grandes pompes du président masqué à Mulhouse, des infirmières cherchent à l'interpeller. Les hommes en noir du président isolent une infirmière puis l'envoient en garde à vue. Elle témoigne en vidéo des violences et "tortures" infligées dans la voiture de police. Insupportable.
C'est insensé. Le président Macron nomme une prix Nobel à la tête du “Care“ pour nous expliquer qu'un traitement susceptible de sauver des milliers de vie doit attendre une certification qui existe déjà. La "guerre contre le virus" à géométrie variable nous met tous en danger. Les professeurs Jianjun Gao1, Zhenxue Tian2, Xu Yang2, et Raoult et Peronne entre autre, estiment urgente son utilisation.
La conférence de presse a eu lieu le 17 février, après des tests effectués dans "plus de 10 hôpitaux“. Elle recommande d'inclure la chloroquine pour "la prévention, le diagnostic et le traitement de la pneumonie causée par COVID-19". Le Pr. Raoult n'est pas seul. L'un des seuls traitement est inexplicablement mis sur la touche en France.
Pénurie de masques, absence de politique de prévoyance de santé au moment adéquat, contaminations visiblement sous-estimées en Ile de France, région la plus exposée. Comment donc faire confiance au gouvernement, à l’AP dirigée par Martin Hirsch, à Santé Publique France? De notre droit de savoir donc d'agir.
Acte I : “Modernisation“ de l’hôpital public. Acte II : Politique de santé publique désastreuse face au Covid-19. Acte III : Décisions précipitées, confinement sans discernement, atteinte sans précédent aux bases de la démocratie. La morbidité économique résultante nous pend au nez.
L'équipe Macron nous aura tout fait. L'annonce panique sur l'épidémie faite la veille du premier tour des élections est un véritable chef d'oeuvre. Amis de la démocratie, bonsoir.
Evo Morales vient de "démissionner", pour ne pas laisser s'installer une guerre civile. Les mutins de l'opposition arboraient des armes et uniformes flambants neufs, des cadeaux de leur femme sans doute. Des amoureux de la démocratie qui incendiaient les maisons des Ministres, soutiens ou famille d'Evo Morales tout juste réélu.
Réélu avec 47% des voix au 1er tour, le président de Bolivie Evo Morales fait face à une contestation très organisée qui conteste les résultats électoraux, mais refuse d'attendre les enquêtes internationales de recomptage, diligentées par Evo Morales. Son hélicoptère s'est posé d'urgence, raisons inconnues. Mutineries dans la police...
Marseille-Genève-Paris, les souliers du secouriste PetitJean entouré de Jaune tiennent le coup. Il explique les entraves faites aux medics citoyens lors des manifestation des GJ. Son témoignage dépasse l'entendement. Si le président n'entend pas la raison des medics, PetitJean reprendra la route de Genève. Pas pour rien. Et pas seul.