Il y a une sorte de fétichisme des dates : en-dehors même de l’histoire, certaines dates ont une signification immédiatement évoquée quand on se réfère à elles : c’est le cas de la fameuse « nuit du 4 août ». Comme le 4 août, c’est aujourd’hui, parlons un peu de cette nuit.
Les diverses péripéties auxquelles s’est heurtée l’Assemblée nationale issue des élections législatives de 2022 illustrent l’impasse de la logique des coalitions dans la vie politique.
Un débat politique majeur s’est engagé sur une initiative de l’exécutif qui consiste dans l’élaboration d’une loi sur le pouvoir d’achat. Profitons-en pour nous interroger sur ce la signification de cette figure politique essentielle du pouvoir d’achat.
[Rediffusion] C’est en 1880 que le 14 juillet est devenu le jour de la Fête nationale. Mais sans doute est-il important, pour le comprendre, de revenir en arrière.
Nous avons donc un gouvernement. Après près d’un mois d’hésitations et d’atermoiements et après son échec aux élections législatives, le président a fini par composer son gouvernement. Quelles significations revêt ce second ministère Borne ?
La publication de cet article qui est la deuxième partie de celui qi fut publié le 9 juin, a été retardée en raison des élections. Voici donc la suite d’Énergie et climat.
Les résultats du second tour des élections législatives, qui a eu lieu dimanche dernier, sont porteurs de plusieurs leçons, qu’il importe de bien comprendre.
Le premier tour des élections législatives a donc eu lieu dimanche dernier. C’est pourquoi je souhaite consacrer mon « texte du mercredi » à une brève réflexion sur ce que l’on peut en dire après coup, et dans l’attente du second tour.
Au cœur de la crise du réchauffement climatique, il y a, bien sûr, l’excès de consommation d’énergies de nos sociétés. Sans doute est-ce le moment de se questionner sur les significations politiques du lien entre énergie et climat.
J’avais prévu de consacrer ma chronique du jeudi dans Mediapart, à un tout autre sujet. Mais voilà : avec l’exécutif dont nous sommes affligés, on est toujours rattrapé par ses erreurs, par ses bévues, par ses crises : en un mot, par son incompétence. Comme samedi dernier au Stade de France.