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BRUNO KNEZ

À propos du blog
CITOYEN
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Sécessionnisme catalan : quand le marketing cache une ethnicisation forcée .
Investi chef du gouvernement grâce aux voix des séparatistes basques et catalans, Pedro Sánchez a choisi de passer outre l’avis négatif du Tribunal Suprême espagnol et de lancer la procédure de grâce pour les leaders du coup d’État des 6 et 7 septembre 2017. Magnanimité ou opportunisme? -
L'Espagne en guerre, encore et toujours
Au vu de la montée de la violence qui se fait jour avant les élections dans la Communauté de Madrid, je publie sur ce blog un texte écrit lors de la sortie du film "Le Silence des autres", sur l’Espagne de la Transition et le prétendu « pacte de l’oubli ». Ces réflexions me semblent plus que jamais d’actualité. Elles s’adressent aux apôtres du manichéisme. -
Ciudadanos ou la modération révolutionnaire.
Hier, dans un blog d’un quotidien espagnol était publié un article intitulé « La dégénérescence politique : pluie acide sur l’Espagne ». Le bipartisme en Espagne, même s’il évolue vers un bibloquisme (confrontation du bloc de gauche et du bloc de droite), a conduit à semer les graines de la haine dans le pays. La crise que vit Ciudadanos, petit parti centriste, en est le symptôme. -
Pour une poignée de votes.
Tribunal Constitutionnel espagnol et Commission des Pétitions du Parlement européen auront-ils raison des velléités de Pedro Sánchez, otage consentant des indépendantistes, de perpétuer un état de non-droit qui affecte aujourd’hui le droit à l’éducation dans la langue nationale commune ? -
Face à l'impudence, l'arrogance, une seule réponse : un ISF foudroyant.
Darmanin joue les Dames-Patronnesses. Macron joue les chefs de guerre. Pendant ce temps les 100 familles françaises les plus riches ont augmenté leur patrimoine de 60% ces trois dernières années. Imposons la fortune au lieu de mendier ! -
Quelle Europe voulons-nous?
En Espagne, alors que le gouvernement de Pedro Sánchez (coalition de gauche) préconise le dialogue et la « décrispation », nationalistes et sécessionnistes avancent leurs pions … -
La culture plébiscitée par le peuple n'est pas forcément nulle...
En réponse à l’article de Ludovic Lamant, «Un débat sur la "légende noire" de l’empire illustre les doutes identitaires de l’Espagne» (22/12/2019). -
Fasciste toi-même?
De l'art de se tromper de combat et de générer le monstre que l'on prétend combattre! La gauche réorganiserait-elle, "à l'insu de son plein gré", un revival du fascisme? Trahissant les idéaux de solidarité qui ont été les siens des siècles durant, elle pourrait contribuer à défendre des modèles sociaux d'apartheid, à aggraver la fracture nord / sud. Quelques réflexions sur la gauche espagnole ... -
Les nouveaux impérialismes.
La globalisation, la crise de 2008 et la laborieuse construction européenne remettent en question l’ordre établi en Europe et fragilisent les États-nations. Vieille nation européenne, l’Espagne est aujourd’hui la proie de violentes forces centrifuges qui comptent bien tirer leur épingle du jeu des déséquilibres du moment. C’est donc un « laboratoire », à observer méthodiquement. -
Des outils de ségrégation ethnoculturels au cœur de l’Europe.
L’Europe est fragile. Pour l’heure, on ne peut pas tant parler de construction européenne, pas même de déconstruction, que de reconstruction selon de nouveaux paramètres où les intérêts ethnoculturels et économiques font bon ménage.