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Le blog de Colette Lallement-Duchoze

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Clebs court métrage d'Halima Ouardiri (Canada)
Une immersion dans une "communauté" canine. Un court métrage aux plans et cadres majestueux dans toutes les variations de la lumière, qui magnifie l'apparente banalité Un court métrage à valeur de parabole! -
Petite fille Documentaire de Sébastien Lifshitz (2020)
Un témoignage " bouleversant" sur la "dysphorie de genre" ( fera-t-il "évoluer les mentalités" comme le souhaite Karine, la maman de Sasha? - cette "petite fille dans un corps de garçon" que Sébastien Lifshitz a filmée pendant un an ) -
Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs Mathias Enard (Actes Sud)
Un roman vertigineux certes à la fois par le thème et le mélange de baroque et d’érudition. . Mais autant le baroque peut séduire, autant l’érudition -fût-elle enrobée de trivialité et d’humour- peut saturer le récit ...et de ce fait entraver le simple plaisir de lire ! -
Barthes de Vincent Gérard, Cédric Laty, Bernard Marcadé et Camille Zéhenne
Les auteurs de ce documentaire par une forme de mimétisme inversé rendent hommage à cet écrivain en l’inscrivant dans SON lieu d’élection, en choisissant des textes dont le pouvoir corrosif est toujours d’actualité. Leur bal(l)ade ponctuée par la musique de Satie est à la fois inventive et ironique -
Les roses fauves Carole Martinez (Gallimard)
Un roman -dans le prolongement de "coeur cousu"- où le merveilleux poétique se marie au réalisme le plus cru, où la grâce éthérée épouse la sordidité tragique, autour des dynamiques du désir et de l’amour dont les roses fauves sont la métaphore. -
Ondine de Christian Petzold (Allemagne)
Un film où se côtoient réalisme et fantastique, monde terrestre -la capitale, son présent et son passé revisité- et monde aquatique -lac, piscine, aquarium-, un film qui met en exergue les connotations du miroitement et de l'enfouissement -
Antoinette dans les Cévennes de Caroline Vignal
Un film dont la ténuité scénaristique est largement compensée par d'indéniables qualités : l'interprétation de Laure Calamy étonnante de justesse dans sa fougue et sa drôlerie, le tempo, la fluidité du montage, les paysages cévenols etc. -
La leçon de ténèbres Léonor de Récondo (Stock)
En ce samedi de juin à la touffeur caniculaire, nous allons suivre, de 23h15 à l’aube, celle qui se prépare et se pare avec volupté pour ce nouvel hyménée, la rencontre amoureuse avec Doménikos Theotokopoulos dit El Greco. Une immersion nocturne singulière qui embrase le corps et l'esprit -
Mano de Obra film de David Zonana (Mexique)
Une démonstration fulgurante de justesse! Une fable au déterminisme "implacable" !