Le non-sens de la pression économique culmine pour l'agriculture, en exigeant d'elle une rentabilité qui détruit son propre « outil de production » !
L'apiculture et les abeilles sont des témoins de premier1…
ordre de la folie destructive de cette démarche aveugle.
Ce blog explique les mécanismes, les conséquences et présentes les issues possibles pour que chacun-e d'entre nous puisse y contribuer.
"Mes jeunes gens ne travailleront jamais. Les hommes qui travaillent ne peuvent rêver. Et la sagesse nous vient des rêves." Smohalla, chef indien Sokulls.
« Il n’y a pas de Planète B » entend-on partout.
Franchement, c’est plutôt une bonne nouvelle ! Tellement la luxuriance de la Planète bleue nous va parfaitement.
Je ne pense pas que le système pourra encore compter bien longtemps sur la servilité des peuples, la docilité des femmes et les douceurs du climat sur la surface de la Terre…
Et je vous explique pourquoi de mon point de vue, ce ne sera absolument pas le cas.
Venant « gratuitement » au monde, devons-nous nous insurger que nous soyons toutes et tous réduits à une stupide « valeur marchande » ?
Dans une civilisation obstinément inhumaine, c’est individuellement et collectivement qu’il va falloir revoir intégralement le sens que nous tenons à accorder à nos vies.
Ce n’est pas tout seul, sans qu’il n’y ait eu de volonté délibérée, que les économies au niveau mondial, sont passées d’une production utile... A un e production inutile!
Sans compter que cela n’a vraiment aucun sens et est parfaitement destructif de l’humain et de la planète…
C’est aussi cette génération qui a vu les peuples du monde entier porter leur ferveur à John Lennon, au groupe ABBA et aux Pink Floyd….
Cependant ce fut en définitive, la génération où l’énergie créatrice n’était pas encore à la portée de la plus grande partie de l’humanité.
Je publie à nouveau ce billet rédigé initialement le 13 septembre dernier avec l'intitulé « Du danger de normaliser la folie en politique ». Car un évènement crucial s’est produit depuis : la parution et la large diffusion du livre de Marc Joly « La pensée perverse au pouvoir »
Au pays des grands imaginaires – des Droits de l’homme et du Romantisme – « l’élite débridée » ne voit plus que des culs à botter.
Peut-être, comme le disait si bien en son temps Georges Bernanos, ne pensent-ils plus qu’avec leurs fesses ?
Suis-je le seul à entendre monter le bruit de leurs bottes !