Un aperçu au long cours des vies des cinémas d'Amérique latine.
Un vaste champ qui englobe les territoires, les sociétés, les luttes et les cultures1
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dans lesquels ces cinémas se développent.
Fondée en 1989, l'ARCALT (Association des Rencontres Cinémas d'Amérique latine de Toulouse) a choisi de suivre et soutenir le développement des pays d'Amérique latine à travers leurs cinémas. Elle organise chaque année, fin mars, les 10 jours de Cinélatino, Rencontres de Toulouse.
« Fui banquero » est le nouveau film de Patrick et Émilie Grandperret disponible dans les salles de cinéma en France depuis le 13 avril 2016. Une histoire d'aventure et de famille racontée par une femme et son père, les réalisateurs de ce film.
Entièrement tourné à Manaus, le film brésilien Antes o tempo não acabava de Sérgio Andrade et Fábio Baldo suit le parcours d’Anderson, un jeune indigène tikuna, qui décide de quitter sa communauté pour rejoindre la ville et son mode de vie.
Au mois de mars 2016, Juan Sebastián Quebrada était venu à Toulouse présenter son premier long métrage de fiction “Días Extraños” qui était en compétition officielle au festival Cinélatino, 28es Rencontres de Toulouse. Le film a reçu une mention spéciale du Grand Prix Coup de coeur lors de la cérémonie de clôture.
Depuis le 20 avril 2016, le nouveau film "Un homme charmant" (La Luz incidente pour le titre original).du cinéaste argentin Ariel Rotter est disponible dans toutes les salles de cinéma qui auront le bonheur de le programmer.
Au mois de mars 2016, Ana Cristina Barragán était venue à Toulouse présenter son premier long métrage de fiction "Alba" qui était en compétition officielle au festival Cinélatino, 28es Rencontres de Toulouse. Le film a reçu le Prix FIPRESCI et le Rail d'Oc lors de la cérémonie de clôture.
Un siècle après la naissance de Roberto Matta et un peu moins d’une décennie après sa mort, son fils Ramuntcho Matta passe à la réalisation d’un documentaire intitulé Intimatta. Il y est question à la fois de Roberto Matta, son parcours de vie, ses œuvres, son intimité et surtout la figure du père vue par son propre fils.
À partir d’un bouton de nacre, Patricio Guzmán raconte l’histoire du génocide passé sous silence des population originaires de Terre de Feu, des disparus de la dictature de Pinochet, de la mémoire multiséculaire de l’eau et du cosmos.