Créé en 2008, le Club Droits, Justice et Sécurités est un Think Tank juridique dans lequel générations différentes et professions différentes réagissent à l’actualité et construisent textes et projets1
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au croisement des questions posées par la justice, la sûreté et la sécurité dans le respect des libertés et droits fondamentaux.
Cette réflexion sans tabou est menée avec les citoyens qui se sentent concernés par la place du droit dans notre société et que les évolutions récentes inquiètent.
Le Club Droits, Justice et Sécurités publie des contributions au débat en vue des élections présidentielles de 2012. Ces contributions préfigurent la plateforme et le Manifeste qui seront prochainement édités par le Club.
Tout faire pour que le procès n'ait pas lieu; tout dire pour laisser penser qu'il souhaite être jugé. Telle semble être la stratégie communicationnelle adoptée par l'ancien président de la République devant le tribunal correctionnel de Paris.
Un café-justice organisé par DJS le 10 février 2011 ne pouvait qu'être d'abord l'expression de notre soutien à la journée-phare de manifestation de la magistrature en France. Ce fut la première journée de contestation de cette ampleur au plus loin que l'on puisse remonter dans l'histoire de la magistrature de notre pays.
Contre «la dégradation constante du service public de la sécurité», contre l'«atteinte réitérée à la Constitution» par celui qui devrait en être le garant, pour soutenir les magistrats et policiers dénigrés par le président de la République, Mediapart vous invite à signer ici l'appel aux citoyens que lance le Club Droits, Justice et Sécurités.
Les attaques incessantes du président de la République et du gouvernement à l’encontre du service public de la justice et de ses personnels ont atteint leur paroxysme à la suite du terrible crime ayant entraîné la mort de la jeune Laetitia. Il n’est pas digne de la part d’un président de la République d’instrumentaliser la douleur et l’émotion.
Plusieurs décisions convergentes de la Cour européenne des droits de l'Homme, du Conseil Constitutionnel et de la Cour de cassation ont rendu le projet de loi du gouvernement sur la garde à vue caduc, tant dans sa logique que dans ses propositions.