Contes de la folie ordinaire

Où il est question des tout-p’tits riens qui rendent la vie quotidienne absurde, sinon folle, confrontés que nous sommes, nous les heureux et chanceux parisiens, aux aléas du stationnement mais surtout brutalement soumis à la folie administrative des FPS, acronyme que l’on peut traduire par Force Persécutive Sidérante.

Gravité du moment : nous alertons les citoyens du pays à réfléchir aux conséquences sur l’accueil, les soins psychiques et la santé mentale, d’un vote qui risque de confier aux mouvements d’extrême-droite le gouvernement et les destinées du pays. Il en va de l’avenir même des soins psychiques pour les enfants, les adolescents, les hommes et les femmes adultes et âgées, mais aussi de la culture.

Le stress l’agressivité engendrée par le système global de la gouvernance actuelle où tout est déshumanisé ! Geek pas geek tous logés à la même enseigne. Impression d’un processus social qui génère une agressivité, une violence, un désir de violence globale. Comment une ambiance de tension dans les petits détails du quotidien est provoquée ou entretenue.

Une pair-aidante qui finit par claquer la porte et démissionner de son poste sur la péniche l’Adamant … On s’est fichu d’elle. Corporatisme éhonté.

Retour sur le centre de santé mentale de Trieste peu de temps après la mort de Franco Basaglia ; sur le revenu universel de base.

Sur le Centre de formation au rétablissement (COFOR) de LIlle ; pair-aidance en psychiatrie suite ... parlons-en.

J’observe dans le livret dont vous nous avez envoyé un tirage qu’on n’y trouve rien ou presque qui concerne la déstigmatisation des populations concernées par le soin psychiatrique.

Nous estimons que tout est à revoir dans ce genre de circuits, et notamment le fait que les personnes concernées n’ont même pas voix au chapitre.

Des nouvelles de ce terrain de confrontation entre des intérêts conflictuels qu'est la psychiatrie.