Témoins d'un génocide, les journalistes palestiniens sont visés par l'armée israélienne pour leur double qualité d'observateurs et de Palestiniens. Un intervenant au débat public qui, loin de les défendre, les vomit s'indigne d'être jugé infréquentable par ceux qui lui reprochent de diffamer des morts.
À l'heure où il convient d'être inquiet pour les passagers des navires se dirigeant vers Gaza, l'exécutif français se montre une fois de plus en-dessous de tout mais nullement gêné pour faire la leçon.
L'Espagne et l'Italie ont déployé des navires pour assurer la sécurité de la flottille internationale pour Gaza, loin du déshonneur de l'exécutif français.
Déclaration stupéfiante d'Emmanuel Macron : les autorités israéliennes auront leur mot à dire sur la composition de tous les membres de l'autorité palestinienne de transition à Gaza.
Lorsque j'évoquais il y a déjà un moment le peu de cohérence du personnage de Rachel Khan, mettant à mal sa prétention à l'humanisme, je n'imaginais peut-être pas certaines de ses déclarations à venir. En voici une qui est à retenir : "une vie égale une vie c'est la propagande du Hamas".
Coïncidence éclairante : le 19 septembre ont paru deux textes relatifs à la reconnaissance d'un État palestinien. Le premier, favorable à cette reconnaissance, émane de militants de la paix israéliens dont des membres de familles de victimes du "7 octobre". Le second, aligné sur la position du gouvernement génocidaire israélien, est signé de vingt "personnalités" françaises.