L'attitude de l'État français face aux dangers encourus par certains de ses ressortissants, passagers de la Global Sumud Flotilla, rappelle l'urgence à ce que cet État se trouve de nouveaux responsables.
Deux poids, deux mesures. On a parlé à raison des otages israéliens mais on a vraiment peu parlé des détenus palestiniens, comme s'ils ne comptaient pas. La barbarie, c'est aussi de contribuer à consacrer l'idée d'une inégalité des vies. Nos gros médias s'y emploient largement.
Greta Thunberg, parvenue en Grèce, a parlé comme toujours du sort des Palestiniens. Sa seule préoccupation, quoi qu'en disent ses détracteurs français aux mots très semblables à ceux, à son égard, de l'État génocidaire israélien (voir notamment à ce sujet mon précédent billet : "Un peu de cran, Sophia Aram!").
On se contenterait volontiers de ceux que l'on connaît déjà le mieux, d'une Sophia Aram à un Raphaël Enthoven. Mais non, il existe d'autres propagateurs de fiel par temps de génocide et je découvre une certaine Bérengère Viennot.
Les autorités israéliennes maltraiteraient les membres de la flottille et s'acharneraient sur Greta Thunberg. Retour sur les "beaux esprits" qui n'avaient rien trouvé de mieux à faire que vomir ces activistes.