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Emmanuel Macron multiplie les prises de position sur à peu près tout et n’importe quoi, à la Porte de Versailles, à Bruxelles, à l’Elysée, à Puy-Guillaume, en Italie, sautant de la croupe d’« Idéale », égérie du Salon de l’agriculture, au dîner élyséen offert aux jeunes créateurs français, des obsèques de Michel Charasse au coronavirus…, en Maître (très contesté) du passage du coq à l’âne !
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« Les occasions de réagir ont toutes les chances de se multiplier dans les deux ans qui viennent… » : j’avais conclu en ces termes mon dernier billet. Moins de deux semaines auront suffi, tant nos Dirigeants sont prompts à commettre des maladresses. L’avènement d’Emmanuel Macron devait engager « la Marche de l’Empereur ». Ne serait-ce pas plutôt « la Marche de l’en-pireur » ?
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La fracture entre deux France s’agrandit et ceux qui « mettent le feu à la baraque » ne sont pas forcément ceux que l’on pointe du doigt. Et si c’était lui le problème, comme le pensent nombre de Français qui refusent de souffrir en silence ? Ce qui ne signifie pas que nos valeurs démocratiques soient solubles dans les violences d’une poignée d’individus ou dans les mensonges du Gouvernement.
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Trois années nous séparent des prochaines élections présidentielles et la messe est loin d’être dite, surtout si la politique économique et sociale du Gouvernement ne donne pas les résultats annoncés et que certains « ennuis » judiciaires touchant divers proches du Président viennent perturber le cours de l’histoire… Alors, « Macron ou le chaos » ou « Macron et le chaos » !
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Alors que la campagne des élections européennes vient tout juste de commencer et que les chaînes d’« information » en continu nous saoulent de sondages en tous genres, il n’est pas inutile de faire un retour en arrière, deux ans (presque) jour pour jour après l’élection d’Emmanuel Macron, pour en rappeler certaines données, à partir de deux des premiers articles publiés sur mon blog, en 2017...
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La semaine qui vient de s’écouler restera probablement dans les mémoires comme l’une des pires de « l’ère Macron », notre « Champion de la Terre » étant « au sommet » à Nairobi en milieu de semaine, et, paradoxalement, « au plus bas » à la Mongie, quelques jours plus tard, alors que les Champs-Elysées étaient dévastés par quelques centaines de casseurs.
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Pas un jour sans que l’on subisse le matraquage médiatique des fans de la Politique présidentielle. Un vrai gavage d’autant plus insupportable que la crise actuelle est la plus grave depuis plus de 50 ans. Mais qu’importe ! Allons ! Foin de misérables critiques : le grand débat est là... Et, comme le chantait l’orchestre de Ray Ventura, « Tout va très bien, Madame la Marquise »…
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Dans un précédent billet, j’avais annoncé les paroles d’une chanson... C’est finalement un écrit assez différent que je livre aujourd’hui, en l’assortissant d'un court commentaire dénonçant sans réserve, sur la forme et sur le fond, toutes les violences, physiques et verbales, quelles qu’en soient les victimes, quels qu’en soient les auteurs.
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A l’occasion d’un entretien limité à quelques journalistes « triés sur le volet », notre Président s’est dit « scarifié » par la crise actuelle tout en se refusant de fait à toute remise en question de sa politique et en promettant d’éviter à l’avenir ces « petites phrases » qu’il dit ne jamais faire… « Jojo le Gilet jaune » appréciera !
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Le « Grand débat » vient de s’engager à la suite de la publication de la « Lettre aux Français ». A en croire les proches du Président, l’événement est historique. Pour ses opposants, il a pour seul objectif de gagner du temps. Pari risqué car il ne suffit pas de « faire le show » pour remporter la mise, la cote de confiance en sa politique étant toujours au plus bas...